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CONFERENCE

 

La Physique de l'infiniment grand/Engins spatiaux à vitesse supra luminique

Nos Frères et Soeurs de l'espace/Les Cités intraterrestres

Planete conference2

 

 Nous allons aborder la nouvelle physique, telle qu'elle figure dans les trois ouvrages « Sciences Secrètes », d'Isaac Plotain. Cette physique de l'infini grand permet de comprendre que l'espace n'est pas vide comme les théories de la relativité ont pu nous le laisser croire. La vitesse de la lumière dans le vide n'est pas de 300 000 km/s. Celle-ci peut varier de zéro à l'infini, selon la pression du milieu que certains physiciens appellent aujourd'hui champ subquantique pour l'infini grand ou champ de Higgs pour l'infiniment petit. Nous l'appellerons aussi milieu cosmique au cours de cet exposé.

Vous allez comprendre que la vitesse de 300 000 km/s n'est pas une limite et qu'il est possible pour des engins spatiaux d'aller à des vitesses supraluminiques. Pour cela nous expliquerons ce qui confère la masse à un objet et comment il est possible de rendre cette masse proche de zéro afin de le propulser à d'incroyables vitesses.

Dans le troisième volet de notre exposé, nous vous expliquerons que certains de nos Frères et Sœurs de l'espace, habitant de lointaines galaxies, ont pu venir jusqu’à nous et que certains ont, depuis longtemps, construit sur notre terre des cités souterraines qui appartiennent à ce que nous appelons le réseau Agartha.

Mais commençons pas à pas afin de comprendre comment les théories de la relativité nous ont enfermés dans une fausse conception, conception selon laquelle jamais nous ne pourrions rejoindre des planètes situées à des années lumière, et jamais nos Frères et Sœurs de l'espace ne pourraient venir jusqu'à nous. Pour une majorité d'humains , l'idée des OVNI et des extraterrestres est une utopie. Cette utopie est d'ailleurs savamment entretenue par nos dirigeants. Imaginez que nous apprenions qu'il existe des civilisations où les conflits n'existent pas et où chaque être humain est traité sur une même base d'égalité ! Trop dangereux pour celles et ceux qui souhaitent asseoir leur pouvoir sur les autres !

Voyons tout d'abord comment nous en sommes venus, par la science, à cette idée d'enfermement :

A la fin du 19ème siècle, les physiciens croyaient en l'existence de l'éther, qui, pour eux, était le support des ondes électromagnétiques. Afin de prouver l'existence de cet éther, deux physiciens, Michelson et Morlaix construisirent un appareil, appelé interféromètre, permettant de mesurer avec précision la vitesse de la lumière. Ils partirent de l'idée selon laquelle, si l'éther existait, il devait exister un vent d'éther dans la direction opposée à la circulation de la terre autour du soleil. Celle-ci tourne à la vitesse linéaire d'environ 30km/s, donc, pour les physiciens, il devait y avoir un vent d'éther qui allait à cette vitesse. Ils pensaient que ce vent devait ralentir la lumière dans le sens du parcours de la terre autour du soleil et l'accélérer dans le sens contraire, au même titre qu'un nageur va moins vite s'il remonte le courant d'une rivière et plus vite s'il le descend.

Ces mesures s'échelonnèrent sur plusieurs années et, à chaque fois, il fut prouvé que la lumière allait à la même vitesse, quelque soit le sens de son parcours. Les physiciens conclurent alors que l'éther n'existait pas et que l'espace était vide. Nous verrons que les physiciens auraient dû émettre deux hypothèses : soit l'éther n'existe pas, soit l'éther existe et il tourne à la même vitesse que la terre. Dans cette hypothèse l'éther entraînerait la terre. Nous verrons plus loin pourquoi il n'émirent pas cette hypothèse et pourquoi ce fut une erreur de ne pas le faire.

Lorsque Einstein émit, en 1905, la première théorie de la relativité, la relativité restreinte, il avait fait sienne l'idée de l'espace vide. La vitesse de la lumière mesurée au niveau de la terre était d'environ 300 000 km/s. En toute logique, elle devait être identique en tout point de l'univers. Comme un photon, de masse nulle, ne pouvait aller plus vite que 300 000 km/s, aucun objet ne pourrait jamais dépasser cette vitesse limite. C'est ainsi qu'Einstein démontra que la masse d'un objet augmentait avec la vitesse et que cette masse devenait infinie à la vitesse de la lumière que l'on ne pourrait jamais franchir. L'idée d'enfermement était née. Nous n'étions peut être pas les seuls êtres vivants au sein de l'univers, mais jamais nous ne pourrions nous rencontrer !

Cependant, vers les années 1910 un autre physicien, Sagnac, eut l'idée de monter un interféromètre sur un plateau tournant, de mesurer la vitesse de la lumière à l'arrêt, puis lorsque le plateau tournait. Il constata qu'en rotation la vitesse de la lumière était moindre, comme s'il y avait, cette fois, un vent d'éther.

Résumé dans deux notes publiées en 1913,  Sagnac interpréta le résultat obtenu avec son interféromètre tournant comme preuve de l'existence de l'éther, ce qui d'ailleurs confirmait la théorie ondulatoire de la lumière de Fresnel.

Cependant, deux années après, en 1915, Einstein publie la théorie de la relativité générale. Il exprime la notion d'espace-temps, considérant que le temps et l'espace étaient liés par une constante qui est la vitesse de la lumière. C'est ainsi qu'il devient possible d'exprimer les distances en temps et dire, par exemple, que le soleil est à 8 minutes lumière, au lieu de 150 millions de km, que le système solaire est à 30 000 années lumière du centre de la galaxie, et que notre galaxie, la voie lactée, se trouve à 2,5 millions d'années lumière de la plus proche galaxie, c'est à dire Andromède. Enfin, que l'univers observable est de 93 milliards d'années lumière.

Confronté à l'expérience de Sagnac et, pour ne pas contredire la relativité restreinte, Einstein eut une idée de génie : expliquer que l'espace temps se courbait en présence d'une masse. La plus courte distance entre deux points, dans un espace courbe n'est pas une droite, mais une géodésique. Einstein démontra que cette géodésique s'allongeait sous l'effet de la rotation du plateau et des forces centrifuges. La lumière parcourait ainsi une plus longue distance lorsque le plateau tournait.

Si les résultats de Sagnac prouvaient l'existence de l'éther, ceux de Michelson prouvaient, théoriquement, le contraire. Tout au moins les physiciens le croyaient-ils ! La courbure de l'espace temps telle qu'exprimée par Einstein avait le mérite d'être compatible avec les deux résultats, ceux de Saganc et Michelson. C'est pourquoi les théories d'Einstein furent retenues par la majorité des physiciens. Nous étions alors parti pour un siècle, ou presque, d'un monde devenu relativiste. Cependant, aux environs des années 70, quelques doutes s'insinuèrent dans l'esprit de certains chercheurs. On expliqua la gravitation par d'autres hypothèses comme celle des quanta. La gravité n'était plus l’œuvre des courbures de l'espace temps, mais celle de petites particules appelées gravitons.

Il est cependant impossible de nier une part de vérité dans les théories de la relativité. La courbure de l'espace temps prédisait la déviation de la lumière à proximité d'une étoile. Cette déviation reçut la validation de l'observation. Elle accrédita ainsi fortement la validité des théories de la relativité. Mais nous verrons que l'on peut, aujourd'hui, expliquer cette déviation d'une autre manière physique et non mathématique. Ce même résultat peut être expliqué par un milieu constitué de particules compressibles qui subit une modification de sa pression en présence d'une masse.

Il me faut insister sur les conséquences néfastes des théories de la relativité qui nous firent croire que l'espace était vide et qu'il ne serait jamais possible pour un engin de déplacement interplanétaire de dépasser la vitesse de la lumière, soit 300 0000 km/s. Quand à vouloir extraire de l'énergie du vide, cela était absurde au vu même de ces théories. C'est la raison pour laquelle certains chercheurs qui disaient pouvoir extraire de l'énergie du vide furent exclus du CNRS. Ce fut le cas pour le professeur Vallée avec sa théorie de la synergétique.

Il fallait donc abandonner l'idée de pouvoir rejoindre un jour la plus proche étoile, Sirius, qui se trouve à 6 années lumière de nous. La masse augmentant avec la vitesse, atteindre le quart de la vitesse de la lumière serait déjà un exploit difficilement envisageable. Quant à aller au delà de Sirius et voyager au sein même de notre galaxie, il ne fallait pas y penser !

Ainsi ces théories de la relativité ont-elles créé cette illusion de l'enfermement. Aller vers une autre galaxie resterait à tout jamais du domaine de la science fiction ! Nous avions les star wars pour nous consoler !

Cette idée d'enfermement véhiculée par les théories de la relativité convenait parfaitement à nos dirigeants qui mirent tout en œuvre pour nier l'existence des OVNIS et faire taire celles et ceux qui affirmaient avoir eu des contacts avec des extraterrestres. Certains ont peut être entendu parler des « men in black » rendu populaires par plusieurs films. Il existe, parait-il une brigade, aux Etats Unis comme en France et certainement dans d'autres pays, chargée de faire taire celles et ceux qui se révèlent trop bavards au sujet des extraterrestres.

Isaac Plotain démontre, dans ses ouvrages « Sciences Secrètes », l'erreur commise par les théories de la relativité. Il démontre, au travers de faits scientifiques que l'éther existe bien et que la vitesse de la lumière n'est pas constante. Si elle est de 300 000 km/s au ras de notre sol, elle peut varier au sein de l'univers, de zéro à l'infini. Comme je vous l'ai dit au début de mon exposé, à la suite de l'expérience de Michelson et Morlaix, les physiciens auraient dû émettre deux hypothèses : soit l'éther n'existe pas, soit il tourne à la même vitesse que la terre.

Dans la seconde partie de l'exposé, M. vous démontrera qu'aujourd'hui nous disposons de multiples preuves scientifiques qui accréditent l'existence de l'éther appelé aussi champ subquantique et que c'est la seconde hypothèse qu'il eut fallu retenir.

Vous constaterez que cette seconde hypothèse ouvre la voie à des voyages interplanétaires à vitesse supraluminiques, et que nous pourrons tirer de l'espace, dans le futur, toute l'énergie dont nous aurons besoin. Ainsi pétrole et nucléaire seront-ils amenés à disparaître. Prions que ce ne soit pas trop tardivement, lorsque notre planète se sera rebellée contre les excès faits à son encontre et qu'il y aura encore suffisamment d'humains pour profiter de ces nouvelles technologies qui pourraient apporter bien être à chacun et respecter enfin notre planète.

Einstein fut un génie, nous ne pouvons le nier. Il parvint à formuler, à partir des mathématiques, des notions parfaitement exactes que nous ne pouvons nier, mais que nous pouvons expliquer, aujourd'hui, par la physique. Les mathématiques devraient être au service de la physique et non le contraire. Mais s'il parvint à de vrais résultats, Einstein parvint aussi à des résultats erronés comme la limite de la vitesse de la lumière et l'espace vide qui eurent pour conséquence de nous isoler dans l'espace.

D'ailleurs, Einstein reconnut ses propres erreurs. Voici ce qu'il conclut au cours d'une conférence faite à l'Université de Leyde le 5 mai 1920, traduite par son ami Solovine, intitulée : «L'éther et la théorie de la relativité». L'édition originale parut chez Gauthier-Villars et Cie en 1921. Voici ce qu'Einstein exposait à la fin de son exposé :

« En résumé, nous pouvons dire : d'après la théorie de la relativité générale, l'espace est doué de propriétés physiques ; dans ce sens, par conséquent un éther existe. Selon la théorie de la relativité générale, un espace sans éther est inconcevable, car non seulement la propagation de la lumière y serait impossible, mais il n'y aurait même aucune possibilité d'existence pour les règles et les horloges et par conséquent aussi pour les distances spatio-temporelles dans le sens de la physique. Cet éther ne doit cependant pas être conçu comme étant doué de la propriété qui caractérise les milieux pondérables, c'est à dire constitué de parties pouvant être suivies dans le temps : la notion de mouvement ne doit pas lui être appliquée.»

Einstein était certainement proche de la vérité. Nous verrons en effet, dans le second volet de cet exposé que l'éther existe bien et que la présence d'une masse confère à cet éther des propriétés particulières, non uniformes qui l'éloigne des milieux pondérables comme l'air ou l'eau.

Nous verrons aussi comment la conception de l'infiniment grand exprimée par Isaac Plotain dans ses ouvrages, permet de concevoir des engins interplanétaires pouvant aller plus vite que la lumière, en les dotant d'une masse proche de zéro.

Isaac plotain s'appuie sur sept expériences ou lois scientifiques pour prouver l'existence de l'éther et ses caractéristiques, alors qu'Einstein s'appuyait sur l'unique expérience de Michelson et Morlaix pour la nier.

LA NOUVELLE PHYSIQUE

Seconde partie

Dans la première partie de l'exposé, D. a expliqué comment les postulats des théories de la relativité, espace vide et vitesse constante de la lumière au sein de l'univers, nous avaient enfermés dans cette notion que nous étions isolés au sein d'un espace infini, que les extraterrestres et les OVNI faisaient partie des fantasmes de l'humanité et relevaient de l'utopie, puisque jamais ils ne pourraient venir jusqu'à nous.

D. vous a aussi expliqué que ces théories se basaient sur la seule expérience de Michelson et Morlaix et que l'interprétation de celle-ci pouvait être erronée.

Les physiciens auraient dû, en effet, émettre deux hypothèses :

1 – Soit l'éther n'existe pas.

2 – Soit l'éther existe et tourne à la même vitesse que la terre.

Essayons tout d'abord de comprendre pourquoi les physiciens de la fin du 19ème siècle n'ont pas retenu cette seconde hypothèse. A l'époque aucune expérience de physique n'était en mesure d'expliquer comment le soleil pouvait entraîner l'éther sur une aussi longue distance. Uranus se trouve à 2,87 milliards de km du soleil. Comment l'éther pouvait-il entraîner une planète aussi éloignée ?

Imaginez une sphère qui tourne dans l'eau. L'eau est entraînée par la sphère, mais seulement à quelques diamètres de la sphère. Comme l'exprimait Einstein lors de sa conférence de Leydes, il fallait que l'éther acquiert des propriétés particulières qui l'éloignait des milieux pondérables. Nous allons voir que tel est le cas !

Isaac Plotain explique dans ses ouvrages que l'éther est constitué de micro particules ayant une charge électrique négative qu'il appelle micro électrons. Ces particules réagissent avec les électrons de l'hydrogène solaire, ce qui rigidifie le milieu qui peut ainsi être entraîné sur une très longue distance.

Isaac Plotain s'appuie sur sept lois ou expériences de physique pour expliquer que l'éther existe et qu'il est constitué de particules à charge électrique négative.

  • La première de ces lois est celle de la vitesse des planètes autour du soleil. Mercure dispose d'une vitesse linéaire de 47,8 km/s, Vénus d'environ 35 km/s, la terre, elle, va à 30 km/s, Mars à 24, Jupiter à 13 et enfin Saturne à 9,7 km/s. Il a été prouvé que ces vitesses étaient inversement proportionnelles au carré de leur distance au soleil. Comment cette loi serait-elle possible dans un espace vide ?

Nous savons que le soleil tourne sur lui-même en 28 jours. Imaginons qu'il entraîne l'éther qui glisse proportionnellement à la distance. Alors cette loi s'explique parfaitement et devient l'une des preuves de l'existence d'un éther.

  • Nous avons vu que l'expérience de Sagnac constituait aussi une preuve et je n'y reviendrai pas.

  • La troisième expérience sur laquelle s'appuie Isaac Plotain, mais aussi Erwin Lazlo, dans son ouvrage « aux racines de l'univers », est l'expérience de la double fente. Dans cette expérience un photon est projeté contre un plan disposant de deux fentes. L'on enregistre le ou les impacts sur un écran placé à l'arrière. On constate que le photon, qui est une particule, provoque deux impacts en arrière plan comme si le photon traversait en même temps les deux fentes. La seule explication logique à cette expérience est que la particule, le photon, induit des ondes, des vagues, au sein du milieu et que ce sont ces ondes qui induisent le double impact.

  • L'expérience EPR eut un grand retentissement dans le monde scientifique lorsqu'il fut permit de la réaliser. Cette expérience porte les initiales des trois physiciens qui l'ont imaginée, Einstein Podosky et Rosen. Nous étions en 1935 et l'expérience visait à mettre en évidence le caractère incomplet de la théorie quantique. C’est David Bohm qui le premier en 1951 proposa une modification à l'expérience, celle-ci ne s’appuyant plus sur la mesure des paramètres position-vitesse de particules corrélées, mais sur la mesure de leurs composantes de spin. Partant de cette nouvelle idée, l’irlandais John Bell, du laboratoire IBM de Zurich, démontra, en 1964, que le résultat de ces mesures devraient respecter certaines inégalités statistiques si l’argumentation EPR était correcte ou, au contraire, violer ces inégalités.

C’est en 1982 qu’eut lieu l’expérimentation décisive réalisée par Alain Aspect et son équipe du laboratoire d'Orsay. Ils mirent en évidence, de façon irréfutable, la violation des inégalités de Bell et confirmèrent que si l'on effectue une mesure sur l’une des particules jumelles, les probabilités associées à l’état de l’autre particule disparaissent. En termes plus simples, quand on joue sur le spin de l'une des particules, sa sœur jumelle située à grande distance voit son spin modifié.

La théorie des quanta n’explique nullement comment l’état d’une particule peut déterminer l’état de l’autre. La possibilité que les instruments de mesure soient à certains égards interconnectés fut éliminée à la suite des expériences d’Alain Aspect. Il fallait donc expliquer ce qui devint un paradoxe quantique

Certains physiciens, comme Costa de Beauregard, émirent l’hypothèse que la particule observée remontait le temps, pour informer sa jumelle de l'action effectuée sur elle, mais il n'apporta aucune preuve. Aujourd'hui, il nous est possible d'expliquer ce paradoxe quantique par l'intermédiaire du milieu. Si les ondes induites par la rotation de la première particule sont modifiées, sa sœur jumelle voit son état modifié par la modification des ondes.

  • Ainsi, avons-nous quatre lois ou expériences qui prouvent l'existence de l'éther. Nous aborderons maintenant trois autres principes ou expériences qui prouvent que l'éther existe, mais qui démontrent aussi qu'il est constitué de particules à charge électrique négative.

  • Je commencerai par l'effet Biefeld-Brown, du nom des deux physiciens qui découvrirent ce qui, en physique, allait devenir une loi : lorsque l'on soumet un condensateur à des charges et décharges sous haute tension et à haute fréquence, ce condensateur subit une force en direction de son pôle positif.

En 1921, Thomas Townsend Brown travaillait sur une expérience portant sur les tubes à rayons X, les tubes de Roentgen. Le jeune chercheur eut l’idée de monter son tube en équilibre instable et de lui appliquer une forte tension électrique de l’ordre de 10 000 volts. Le tube eut un léger sursaut, un peu comme s’il essayait de décoller. En 1923, l’effet fut examiné pour la première fois en détail par lui et le Dr. Paul Alfred Biefeld, professeur à l’université de Denison dans l’Ohio. Selon ce nouveau principe, un condensateur électrique chargé et déchargé de façon alternative subit une force dans la direction de son pôle positif. Cet effet fut décrit dans le brevet N° 2 949 550 que Thomas Townsend Brown déposa. Très longtemps, le silence fut maintenu au sujet de l’effet Biefeld-Brown, les scientifiques n’ayant aucun moyen d’apporter une réponse claire sur la source de ce phénomène.

A partir des années 30, Thomas Townsend Brown travailla pour le « Naval Research Laboratory » de la marine. Tous les projets de la marine auxquels il participa, furent classés top secret, en particulier le fameux projet Philadelphia (qui consistait à essayer de rendre les bateaux invisibles à l'ennemi). Durant son séjour au « Naval Research Laboratory » et malgré la censure militaire, il poursuivit en secret ses travaux sur l’application de l’effet Biefeld-Brown. Il construisit des modèles réduits de véhicules spatiaux. Leur forme ressemblait curieusement à celle des supposées « soucoupes volantes » et ce, pour des raisons d’efficacité maximale de propulsion. Étrangement, le phénomène des OVNI en forme de soucoupes était alors inconnu du grand public.

En 1953, Brown avait réussi à faire voler son gravitor, sur un parcours de 6 mètres de diamètre. L’appareil était relié à un fil qui lui fournissait une tension de 50 000 volts. La vitesse de pointe de l’appareil était de 185 km/h.

En 1955, las d’attendre vainement une aide financière qui tardait à se manifester, Brown décida de se rendre en France, dans l’espoir de susciter un minimum d’intérêt. Il travailla pendant un certain temps pour la Société Nationale de Construction Aéronautique du Sud Ouest, laquelle réalisa plus tard la Caravelle et le Concorde sous le nom d'aérospatiale. La S.N.C.A.S.O. lui confia un laboratoire de recherche mais les militaires chargés d’évaluer l’intérêt de ses travaux, jugèrent que ce type de recherches ne méritait pas d’être poursuivi. Nous avons eu connaissance d'une lettre de l'aérospatiale qui confirme que Brown a bien disposé d'un laboratoire au sein de la SNCASO et que les généraux venus voir ses expériences, entre autre le général Tardy, ne furent nullement convaincu de l'intérêt militaire de ces expériences car aucun moyen pour embarquer l'énergie nécessaire sur un engin volant n'existait à l'époque.

Brown retourna aux États-Unis. À son arrivée il rencontra un homme fanatique de voyages spatiaux, Agnew Bahnson. Celui-ci mit à sa disposition un laboratoire entièrement équipé. Il dut cependant interrompre ses recherches car Bahnson se tua l'année suivante dans un « accident » d’avion et ses héritiers ne montrèrent aucun intérêt par la propulsion électro-gravitique.

Malgré plus de 72 brevets dans 12 pays, jamais Brown ne parvint à développer sa découverte. Il fonda sa propre organisation de recherche et construisit des modèles améliorés, tout cela dans l’état de la Californie, jusqu’à sa mort survenue le 22 octobre 1985.

Peut-être que les connaissances d’aujourd’hui lui auraient-elles permises de saisir les fondements théoriques de l’effet qu’il avait découvert avec son professeur et eut-il pu convaincre les institutions politiques de financer ses recherches.

Mais, à ma connaissance, seul Isaac Plotain expliqua l'effet Biefeld Brown, grâce à ses connaissances sur la structure du milieu cosmique. Isaac fournit une preuve convaincante de cet effet, en démontrant que les particules du milieu sont attirées latéralement par l'électrode positive, comprimées, puis éjectées par l'électrode négative, provoquant, par réaction une force en direction du pole positif.

Ainsi cet effet constitue-t-il une preuve supplémentaire de l'existence des micro électrons.

  • Voici maintenant une preuve, toute simple, que vous pourrez reproduire vous-même si vous êtes un peu curieux ou que vous pourrez, tout au moins, voir en vidéo sur Internet : allez sous une ligne à haute tension, de 400 000 volts, s'il y en a une à proximité de votre domicile, et tenez un tube néon à la main. Vous verrez que le tube néon s'allume comme par magie.

Un tube fonctionne par décharge d'un courant électrique dans une atmosphère gazeuse de mercure sous basse pression. Lorsqu'on le met sous tension, des électrons sont émis par les deux électrodes de tungstène. Lors de cette expérience, sous la ligne à haute tension, comment le tube peut-il s'allumer, alors que nous savons que les molécules de gaz et de métal ne peuvent être excitées que par une décharge d'électrons, ou tout au moins de particules chargées négativement ?

N'est-ce pas la preuve qu'un champ magnétique résulte de la mise en circulation des particules de l'espace par un champ électrique ? Et ces particules n'ont-elles pas nécessairement une charge électrique négative pour leur permettre d'allumer le néon ?

Cette expérience, toute simple et parfaitement connue, est une preuve convaincante de l'existence de ces micro électrons qui constituent le champ subquantique remplissant l'espace infini.

Voici la septième et dernière preuve. Elle figure dans le troisième tome de « Sciences Secrètes ». Isaac Plotain a consacré tout un chapitre à cette preuve et à cette hypothèse de l'Univers électrique qui rassemble aujourd'hui une importante communauté de chercheurs.

Il y a un siècle environ, le norvégien Kristian Birkeland prouva que les aurores boréales étaient un lien avec le soleil électrique. Plus tard, le suédois Hannes Alfvén reçut le prix Nobel pour ses explications sur le circuit électrique solaire.

L'Univers électrique prit alors naissance, à partir des idées de ces deux astrophysiciens. Cette théorie se base sur les postulats suivants :

1 – L'espace n'est pas vide, mais rempli de plasma

2 – L'univers est parcouru par un courant électrique qui relie les étoiles et les planètes entre elles.

Sachez qu'un plasma est un milieu constitué de particules, d'atomes ou de molécules ayant une charge électrique.

Cette théorie de l'univers électrique correspond parfaitement aux théories d'Issac Plotain et de ses micro électrons. Selon ce chercheur, il est tout à fait possible que s'établissent au sein du milieu des courants qui sont forcément des courants électriques, à condition qu'ils se bouclent. En effet, depuis Faraday, il est reconnu qu'un courant électrique ne peut exister que s'il se boucle. De même qu'il ne peut exister un champ magnétique que s'il existe un champ électrique.

Dans ses ouvrages, Isaac Plotain explique que la force d'attraction gravitationnelle est induite par un courant électrique qui circule entre le côté nocturne et le côté diurne de notre planète. Il explique ainsi ce que sont les courants cosmiques et telluriques. Il explique aussi que ce courant électrique se boucle dans l'espace, entraînant la création du champ magnétique terrestre qui lui est perpendiculaire. La force d'attraction gravitationnelle, selon cet auteur, serait une poussée qui résulterait de la circulation des micro électrons et non une attraction, comme on le croit généralement.

Voici donc, non pas une seule, mais sept lois, expériences ou hypothèses qui accréditent fortement l'idée selon laquelle l'éther existerait et serait constitué de particules élémentaires disposant d'une charge électrique négatives. Ces particules vibreraient en opposition de phase, créant un effet miroir. De ce fait, l'énergie serait nulle en apparence et rendrait cette énergie invisible à nos yeux. Mais si l'on trouvait le moyen de déstabiliser l'une des particules, nous pourrions extraire de l'énergie du milieu. Nous touchons ici à ce que de nombreuses personnes appellent l'énergie libre.

Pour une bonne compréhension du milieu cosmique et comprendre l'influence qu'exerce une masse sur celui-ci, je dois vous expliquer que toute matière repousse les particules du milieu par l'intermédiaire de ses électrons, créant un champ non uniforme. Aussi, la pression du milieu au raz de la terre n'est-elle pas la même qu'en altitude. Elle est plus faible. Il existe un gradient de la pression induit par une masse. Les lignes de même pression, que l'on appelle lignes isobares, sont rectilignes dans l'espace, mais elles se courbent en présence d'une masse. C'est ainsi qu'Einstein découvrit un phénomène purement physique qu'il expliqua par les mathématiques et que nous pouvons, aujourd'hui, expliquer plus simplement. Il existe un lien entre la courbure de l'espace temps et l'inverse du gradient de la pression du milieu induit par une masse.

Afin d'aller plus loin et vous expliquer comment il est possible d'aller à des vitesses supra luminiques, il me faut vous expliquer ce qui confère la masse ou le poids à un objet.

Dans le langage de tous les jours, personne ne fait la différence entre la masse et le poids d'un objet. Mais c'est une erreur car le poids et la masse sont deux grandeurs différentes qui ne rendent pas compte du même phénomène.

La masse d'un objet mesure la quantité de matière contenue dans cet objet c'est à dire la masse des particules, atomes ou molécules, qui le constituent. Ils créent ce que nous appelons la masse inertielle, c'est à dire la masse qui s'oppose au mouvement. La masse d'un objet est la même quel que soit l'endroit où se trouve l'objet dans l'univers. L'unité de masse est le kilogramme (kg). Les théories de la relativité, nous ont expliqué que cette masse variait en fonction de la vitesse de déplacement de l'objet. L'explication peut aussi être donnée par la théorie des micros électrons et recevoir une explication plus physique.

Le poids, lui, mesure la force d'attraction qu'exerce un astre sur un objet et cette force d'attraction est d'autant plus grande que cet astre a une masse élevée. Ce qui signifie que le poids d'un objet varie dans l'univers et dépend de l'astre où il se trouve. Ainsi sur la lune nous pèserons environ six fois moins que sur la terre. L'unité de poids est le Newton, nom donné à cette unité parce que ce fut Newton qui, le premier, s'aperçut que la Terre attirait les objets vers elle. Si un objet se situe à une grande distance d'un astre il ne subira aucune attraction et son poids sera quasiment nul. L'objet est en apesanteur, mais dispose de la même masse.

Poids et masse semblent donc être deux notions différentes, mais nous allons voir que ce n'est qu'une apparence.

Isaac Plotain explique que le poids est crée sous l'action de la circulation des micro électrons mis en mouvement par l'interaction entre deux masses, en l’occurrence, pour le poids de notre corps, entre la terre et notre corps physique. Il explique qu'un courant de micro particules nous traverse en permanence et se boucle entre notre tête et nos pieds. L'aura serait le champ électromagnétique induit par ce champ électrique. Ce serait la résistance au passage du courant de particules qui créerait le poids.

La masse, elle, devient tangible lorsqu'elle est mise en mouvement. Plus la masse est importante, plus il est difficile de la déplacer et plus elle va vite, plus sa masse augmente proportionnellement à sa vitesse. Là encore l'augmentation de la masse est due à l'éther qui traverse le corps.

Dans les deux cas, c'est donc le mouvement relatif entre le corps et l'éther qui induit le poids ou la masse. Pour le poids c'est l'astre sur lequel on se trouve qui induit la vitesse de l'éther et pour la masse, c'est le déplacement qui induit la vitesse relative entre l'éther et l'objet.

Si vous avez compris ce qui confère la masse à un objet, vous n'aurez aucune difficulté pour comprendre comment il est possible de conférer une masse nulle à cet objet et lui permettre ainsi de se déplacer à des vitesses supra luminiques : il suffit de faire un vide de particules devant la masse qui se déplace.

Dans le tome 1 de « Sciences Secrètes », Isaac Plotain met en parallèle les conclusions auxquels il est parvenu avec les explications que donne Kryeon dans ses ouvrages. Vous verrez ainsi comment leurs explications se rejoignent :

Voici ce que dit Kryeon :

«  Il vous reste à mettre au point la formule des sciences physiques. La première caractéristique de cette formule est de comprendre la densité de la matière ou masse.

«  Vous voulez savoir ce qu'est l'antigravité ? Elle n'existe pas. Recherchez plutôt le secret de fabrication d'une masse variable. »

« Votre soi disant antigravité est en fait votre recherche du mécanisme qui crée les attributs de ce que j'appelle une condition sans masse... Pouvez-vous imaginer un objet avec une densité zéro, qu'elle qu'en soit la taille ? Bien peu de choses dans l'univers existent sous cette forme, mais elles peuvent être créées artificiellement en utilisant tout simplement les mécanismes de la masse, de ce qui détermine la masse réelle d'un objet. »

«  Certains aspects d'un système lié peuvent être ajustés à certains attributs de masse, pendant que le dessous, le haut et d'autres côtés peuvent être ajustés différemment... Quelque chose qui n'existe pas au sein de l'univers dans une forme naturelle. Non seulement un attribut, ou un système connexe peut avoir une masse négative, mais un aspect peut aussi avoir une masse commune plus lourde qu'un autre. D'une précision coordonnée, ce système peut permettre un mouvement contrôlé avec précision sur tous les plans. »

Selon la physique, un objet sans masse sera mis en mouvement avec une force minime qui lui conférera une vitesse pratiquement infinie.

Ainsi vous est-il possible de comprendre comment un engin de déplacement peut parcourir des milliers d'années lumière en quelques jours seulement.

J'espère que cet exposé vous permettra de sortir de l'idée d'enfermement qu'avez put induire les théories de la relativité.

Contrairement à ce qu'on nous a laissé croire, nous serons, un jour, en mesure de rejoindre de lointaines galaxies. Les théories d'Isaac Plotain ouvrent des horizons nouveaux avec la réhabilitation de l'éther et la compréhension des mécanismes des forces gravitationnelles, de la masse et du poids.

Nous pouvons nous interroger sur le fait que, si nous n'avons pas encore les moyens de nous déplacer aussi vite dans l'espace, peut être certains de nos Frères et Sœurs, habitants de notre galaxie ou de galaxies lointaines, ont-ils pu nous rendre visite sans que nous le sachions. Et peut-être sont-ils installés dans des lieux secrets, comme nous allons l'examiner dans le troisième volet de cette conférence, en vous parlant des cités intraterrestres.

LES CITES INTRATERRESTRES

Dans les années 70, nous avions connaissance d’une ville mythique que nous nommions « Shambala ». C’était, pour nous, la résidence d’êtres réalisés qui veillaient aux destinées de l’humanité. Nous avions alors très peu d’informations sur cette possible réalité, en dehors de celles que nous avait transmises Saint Yves d’Alvesdre, au siècle précédent. Saint Yves est un poète et écrivain français, ami de Gérard Encausse, connu sous le nom de Papus. Nous savions que les sages de Shambala guidaient l’humanité par l’intermédiaire d’un gouvernement occulte présidé par un personnage qu’il nommait « le roi du monde ». Nous savions aussi que Shambala faisait partie d’un réseau de villes souterraines appelé « Agartha ». Mais nous n’en savions guère plus. C’était, pour nous, quelque chose d’irréel et, à l’époque, nous ne parlions pas encore de dimensions dont les fréquences vibratoires  pouvaient être différentes. A l’aube du nouveau millénaire nous recevions un ouvrage qui apporte de nombreuses informations sur la réalité des villes de l’Agartha. Il porte le nom de « Télos » et fera probablement date dans l’histoire de la Tradition.  Nous apprenions que la ville de « Télos » assurait depuis peu la direction administrative du réseau des villes souterraines, à la place de Shambala mineure.  Son grand prêtre transmettait, par l’intermédiaire d’Aurélia Louise Jones, des informations précises sur la ville, son rôle, sa localisation et son origine. Selon lui, elle se situe à quelques Kilomètres  sous le mont Shasta qui s’élève le long de la chaîne de feu sous la forme d’un magnifique volcan éteint, dans la partie nord ouest des États-Unis.  Elle fut créée avant la disparition du continent lémurien, voici plus de 12 000 années. Depuis cette époque, elle s’est élevée au niveau de la cinquième dimension, dans une densité de matière plus subtile que celles que nous connaissons. Adama précise dans son ouvrage que les télosiens ont préservé l’aptitude à revenir dans notre dimension. 

Mon but n’est pas de discourir sur les interprétations nombreuses et variées qui ont été faites depuis la diffusion des trois ouvrages sur Télos, les dérives inévitables qui se sont produites, les espoirs et les attentes, puis les déceptions qu’ils ont suscités, les associations qui se sont créées et les multiples médiums qui se sont crus devoir transmettre des messages d’Adama. Nous ne pourrons jamais éviter ce qui s’est déjà produit, il y a 2000 ans, mais aussi au cours des siècles : les fébriles attentes du messie venu faire le travail à notre place, les utilisations égotiques et mercantiles de certains aux vues d’exercer leur pouvoir sur les autres…

 Mon but est de rechercher si l’existence de cette ville est bien réelle, si les informations qui nous ont été transmises sont susceptibles de nous aider à nous élever spirituellement.

 Alors que je méditais sur la possible réalité de Télos, sur l’existence d’êtres qui auraient construit une civilisation fraternelle et paisible, me revenait en mémoire un ouvrage de Wishar S.Cervé : « La Lémurie, continent perdu du Pacifique ». Dans cet ouvrage, Wishar parle  du mystérieux peuple du Mont Shasta. Il raconte que d’étranges personnages, grands, gracieux et agiles, bizarrement vêtus, venaient dans certaines petites villes de la région du Mont Shasta afin d’y acheter des marchandises, les payaient avec des pépites ou de la poudre d’or, puis disparaissaient. Il parle aussi de la rencontre entre des hommes importants de la ville de San Francisco et d'une délégation d’êtres dont la noblesse, l’humilité et la majesté réunies en une seule expression étaient inconnue des humains de l’époque. Ce qui fut exprimé au cours de cette rencontre demeura secret. D’autres étranges rencontres eurent lieu, dans la proximité du mont Shasta, avec des hommes vêtus de blanc, aux longs cheveux bouclés, chaussés de sandales, d’allure grande et majestueuse, mais ne désirant pas attirer l’attention. Wischar certifie dans son ouvrage, que des centaines de personnes ont vu des vaisseaux de forme singulière survoler la région. Ils ont été vus sur les eaux de l’océan Pacifique, à proximité de la côte. 

Je m’interrogeais toujours sur cette existence lorsqu’une étrange synchronicité se produisit. A l’époque, l’une de nos filles résidait à Washington et nous lui rendions visite plusieurs fois chaque année. Alors que nous devions demeurer sur les lieux même où elle résidait, elle nous informa qu’elle venait d’obtenir un congé et qu’elle serait heureuse de nous faire découvrir la côte nord ouest des États-Unis. Nous irions jusqu’à San Francisco, en avion, puis nous louerions une voiture afin de nous rendre à Seattle, en explorant sur les 1200 Kms qui séparent les deux villes les territoires de cette terre de feu qui offre de magnifiques et grandioses paysages.

 En examinant la carte de la région du nord ouest des États-Unis, je découvris avec surprise que le Mont Shasta se trouvait sur l’itinéraire que nous allions emprunter. Je savais que l’auteur de l’ouvrage de « Télos » résidait dans une ville qui porte le même nom, située au pied de la montagne. Je prenais alors contact avec l’auteur, Aurélia Louise Jones, et lui demandais si elle accepterait de nous rencontrer. Elle accepta avec plaisir. C’était en juin 2003.

Dès notre arrivée au « Swiss-hôtel » d’où nous avions une magnifique perspective sur la montagne enneigée, je téléphonais à Aurélia qui nous rejoignait rapidement. Assise en tailleur sur l’un des lits de notre chambre, elle nous raconta comment, alors qu’elle demeurait dans le Montana, elle avait reçu sur son ordinateur un message lui demandant de venir s’installer à Mont Shasta. Elle nous raconta comment elle avait dû patienter de longues années avant de recevoir la première information en provenance de Télos. Nous invitions Aurélia au restaurant proche de l’hôtel afin de partager avec elle le repas du soir et poursuivre la conversation. Elle accepta avec plaisir, nous recommanda l’ascension de la montagne afin d’en ressentir les énergies, puis la promenade le long de la rivière Mac-Cloud où elle se rendait fréquemment. Nous ne fîmes aucune rencontre particulière, mais nous ressentîmes toute la douceur et l’harmonie de ces lieux exempts de pollution et d’insectes qui gâchent parfois les promenades champêtres.

 Mont Shasta est un lieu particulier. J’ai beaucoup voyagé, sur presque tous les continents, mais nulle part ailleurs, je n’ai ressenti une atmosphère aussi sereine et un air aussi pur. Je garde Mont Shasta en mon cœur  et je pense souvent à la ville qui se trouve peut être cachée en son sein.

Mon but n'est pas de vous parler en détails de Télos. Vous pourrez lire les trois ouvrages d'Adama pour cela. Mon but est d'étayer les propos de David et de Magali sur des Frères et Sœurs qui seraient venus de galaxies lointaines et occuperaient certaines des villes du réseau de l'Agartha. Pour venir jusqu'à nous, ils auraient dû parcourir des milliers d'années lumière.

Nous avons, en effet, connaissance de deux villes appartenant au réseau de l'Agartha qui abritent des Frères et Sœurs venant de galaxies lointaines.

La première de ces villes se nomme Beau'Anse. Elle se trouve au Canada, sous la ville de Rimouski située sur la rive droite du Saint Laurent, à 500 Km au nord de Québec. Selon Aïnazé, le responsable de cette cité, Beau' Anse fut construite il y a environ 38 000 ans. Ce serait la plus jeune des cités qui participent à la mise en place de la toile de lumière. Il y aurait 56 cités sur les 120 du réseau de l'Agartha qui participeraient à cette construction. Aïnazé dit venir de Jodia, une étoile située dans une autre galaxie. Il y aurait trois galaxies entre la sienne et la voie lactée. Malgré les milliers d'années lumière qui nous séparent, il affirme ne mettre que 2 jours en navette intergalactique pour parcourir la distance qui nous sépare.

Les thèses développées par David et Magali permettent de comprendre comment cela est possible et imaginer que, peut être, ce qui nous est conté, que nous sommes en droit de douter bien sûr, est peut-être vrai.

La seconde ville se situe aussi au Canada. Elle porte le nom de Gobail. Son porte parole, Shamaë dit que la cité comporte 120 000 habitants venant de galaxies lointaines. Il dit venir de Nozarius et recevoir parfois la visite d'êtres venant de Sirius ou d'Orion. Shamaë a transmis par télépathie beaucoup d'informations dans un ouvrage qui porte le nom de « gobail ». Vous pourrez le lire si vous souhaitez de plus amples informations sur cette cité.

Voici quelques questions que je me suis posées au sujet de ces cités intraterrestres :

1 – Quelles preuves avons-nous de l'existence de ces 120 villes souterraines qui formeraient le réseau Agartha ? Les trois livres « Télos », « Gobail » ou « Beau'Anse », ne constituent pas des preuves absolues et il faut une certaine foi pour croire en cette existence. En ce qui me concerne, j'ai eu la chance de rencontrer Raymond Spinosi. Cet homme passa toute sa vie à parcourir la Provence, en particulier la région du lac de Sainte Croix. Lors de notre rencontre, une sympathie mutuelle s'établit très vite sur la base des connaissances que nous avions de ces villes souterraines. Et Raymond m'apporta des preuves photographiques de l'existence de l'une des trois cités souterraines qui se trouvent en France, cité nommée « Androsmedha », implantée en Provence. Cette cité serait habitée par des êtres issus de l'antique Lémurie, comme le serait Télos. Raymond me présenta, sur son téléphone portable, une magnifique photo d'un engin volant au dessus du lac Sainte Croix et une petite vidéo de l'intérieur de la cité. Je n'ai pas osé lui en demander une copie.

2 – La seconde question que je me suis posée est la suivante : que sont donc venus faire ces êtres, qui habitaient des galaxies lointaines, des endroits certainement plus attrayants que le ventre de notre planète ? Shamaë et Ainazé nous disent qu'ils sont venus sur notre planète à la demande des sages de notre Univers afin de construire, avec 54 autres cités intraterrestres, des infrastructures capables de créer un champ électromagnétique de protection pour notre planète. En effet, selon eux, l'univers électrique est une réalité. A la page 49 de « Gobail » Shamaë parle, comme Isaac Plotain, des « micro-électrons qui vont subir une distorsion ». Une surtension dans le circuit électrique cosmique doit, selon lui, se produire prochainement. Il parle de vague systémique. Sans le champ de protection mis en fonction le 31 décembre 2011, qui réduit fortement la tension de la vague, aucun être vivant sur notre planète ne pourrait survivre.

Lorsque la ceinture de Van Allen, fut découverte il y a 55 ans, elle fut décrite comme possédant deux couches distinctes. Mais en mars 2013 la Nasa découvre qu'une troisième ceinture était apparue, entourant les deux autres. Coïncidence ? je ne saurait le dire !

En tout cas, il est facile de comprendre que, si l'espace est composé de particules compressibles comme le démontre Isaac Plotain, l'explosion d'une super novæ produit une vague au sein du milieu cosmique. Et cette vague correspond à une surtension du courant électrique cosmique. Donc, rien d'étonnant à ce que nous puissions subir le passage d'une vague systémique dans un délai indéterminé pour l'instant.

3 – La troisième question que je me suis posée est la suivante : Pourquoi ne nous contactent-t-ils pas et ne nous apportent-t-ils pas des preuves de leur présence ? Cela est vrai, aussi, pour nos Frères et Sœurs de l'espace qui habitent dans des vaisseaux. Ainazé et Shamaë donnent un certain nombre de raisons dans leurs ouvrages. Je sais que notre humanité vit depuis un certain nombre de millénaires une expérience unique qui se base sur trois critères : l'oubli, à notre naissance, de toutes nos expériences antérieures, le libre arbitre qui donne la possibilité à certains être d'en asservir d'autres et à ceux-ci le droit de se laisser asservir et hypnotiser par les leurres qui leur sont proposés. Enfin le troisième critère est l'interdiction qu'ont nos Frères et Sœurs de l'espace de nous contacter tant que cette expérience n'aura pas pris fin. Des informations circulent sur le fait que cette expérience pourrait se terminer dans un avenir proche et qu'il serait alors possible d'avoir des contacts avec celles et ceux que l'on nomme extraterrestres.

Ces contacts sont, hélas, source de craintes et même de peurs pour beaucoup de personnes. Il est important d'éradiquer ces peurs. Il ne faut pas craindre d'en parler et faire comprendre qu'il y a plus de craintes à avoir des humains de cette planète que de celles et ceux qui ont déjà parcouru un long chemin d'élévation spirituelle. Les attardés belliqueux, ce ne sont pas eux, mais nous. S'ils nous contactent un jour, ce sera pour nous montrer le chemin qu'ils ont parcouru pour construire des civilisations solidaires, soucieuses du bien être de chacun, ce qui n'est pas encore le cas pour notre humanité.

Beaucoup d'informations nous ont été transmises par les Pléïadiens, originaires de la constellation des Pléiades, appelée aussi les Sept Sœurs car sept étoiles de cette constellation sont visibles à l’œil nu. Ces Sœurs et Frères extraterrestres ont transmis 14 ouvrages publiés en librairie. Ils nous donnent des informations sur notre passé et ce que nous pourrions construire en commun dans le futur. Avec des amies et amis, nous avons étudié leurs informations pour écrire un roman d'anticipation, en essayant de nous projeter en l'an 2060. Bien sûr ce livre reste un roman et tout ce qui est décrit ne se produira pas forcément. Mais nous pensons qu'il peut être une source d'inspiration pour celles et ceux qui souhaitent voir au delà des apparences et peut-être rêver d'un autre monde plus solidaire et fraternel que celui que nous connaissons. Ce livre porte le titre de « Oasis de Lumière ».

Dans cet ouvrage, nous décrivons un monde où l'argent n'existe plus. Chacun reçoit gratuitement en fonction de ses besoins et chacun partage gratuitement ses connaissances ou ses dons avec celles et ceux qui souhaitent les recevoir. C'est la raison pour laquelle afin de se rapprocher de ce modèle, nos conférences sont gratuites et que nous offrons gratuitement le tome 3 de « Sciences Secrètes » d'Isaac Plotain et « Oasis de Lumière » de Claude Delarose, sous la forme de fichier Word ou E.pub, téléchargeable depuis le site "échange et partage".

Nous envisageons de faire d'autres conférences sur les thèmes de la Physique, l'Astrophysique, l'Alchimie ou la Philocalie...

La prochaine portera sur « l'Antimatière, les plans parallèles, les moyens de rejoindre un plan plus élevé que le nôtre... »

 

  

 

 

 

 

 
 


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Date de dernière mise à jour : 23/11/2020