Prévention contre les risques majeurs.
J'ai publié, sous le pseudonyme d'IVAN IVANOVITCH, quatre ouvrages qui reprennent les histoires extraordinaires publiées sur ce site, mais aussi d'autres histoires, ainsi que d'autres secrets. Je vous invite à lire les premières pages sur Amazon :
https://www.amazon.fr/s?k=ivan+ivanovitch&i=stripbooks&__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&ref=nb_sb_noss_1
Exposé destiné aux membres du COBATY
(Fédération internationale de la Construction, de l'Urbanisme et de l'Environnement.)
et à celles et ceux qui se soucient de leur devenir.
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Comment se prémunir contre les risques majeurs.
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Faut-il aménager son habitation pour se prémunir contre les risques majeurs qui nous guettent dans le futur ?
Vous en serez certainement convaincu après mon exposé.
Les membres d'Oxfam, comme beaucoup de scientifiques, pensent que nous vivrons d'importantes transformations dans nos sociétés, probablement à la suite de l'un ou l'autre des risques majeurs que je vais évoqués.
Oxfam est une confédération internationale de 20 organisations qui travaillent ensemble dans plus de 90 pays.
Cette institution a alerté les dirigeants, à l’occasion de la rencontre annuelle de l’élite politique et économique à Davos, sur le fait que huit hommes détiennent autant de richesses que les 3,6 milliards de personnes qui représentent la moitié la plus pauvre de l’humanité et mis l'accent sur les révoltes que ces inégalités sont susceptibles de produire.
Oxfam explique comment les grandes entreprises et les plus fortunés alimentent la crise des inégalités en éludant l’impôt, en réduisant les salaires et en utilisant leur pouvoir pour influencer la politique.
Pour la directrice générale de l'institution, « il est indécent que tant de richesses soient détenues par si peu de monde, quand une personne sur dix survit avec moins de 2 dollars par jour. Les inégalités enferment des centaines de millions de personnes dans la pauvreté, fracturent nos sociétés et affaiblissent la démocratie. »
Le risque social existe donc, mais selon l'organisation, ce sont les risques climatiques qui sont susceptibles de provoquer le plus de destructions et de dévastations d’une ampleur nouvelle et terrifiante.
L’année 2017 a connu des catastrophes climatiques dévastatrices dans plusieurs régions du monde : des phénomènes météorologiques extrêmes comme l’ouragan Irma, des vagues de chaleur meurtrières en Inde, en Europe et ailleurs, et des inondations en Asie du Sud-Est. De Houston à Mumbai, des millions d’habitations sont submergées ou rasées par les vents violents, et des millions de personnes se retrouvent sans abri et plus pauvres qu’avant.
Je reviendrai sur ces risques car je souhaite vous parler en premier de risques peu connus du grand public, mais dont les conséquences pourraient être plus dramatiques encore que ces phénomènes climatiques.
L'un des risques majeurs auquel notre société pourrait être confrontée résulte de l'activité du soleil appelée éruption ou tempête solaire.
Une éruption solaire produit un flash de lumière visible mais émet également des radiations dans le reste du spectre électromagnétique, des rayons gamma, des ondes radio et des rayons X. Certaines éruptions atteignent la Terre et peuvent perturber les transmissions radio électriques. On parle alors d'orage magnétique.
Ces tempêtes géomagnétiques peuvent déranger le champ magnétique terrestre et endommager des satellites. Elles peuvent aussi avoir de graves incidences sur les systèmes technologiques, notamment les réseaux électriques et informatiques.
Le 10 mars 1989, un puissant nuage de particules ionisées quitte le Soleil à destination de la Terre, Deux jours plus tard, les premières variations de tension sont observées sur le réseau de transport d'Hydro-Québec, dont les systèmes de protection se déclenchent le 13 mars à 2 h 44. Une panne générale plonge le Québec entier dans le noir pendant plus de neuf heures.
Entre le 19 octobre et le 7 novembre 2003, des éruptions solaires obligent les contrôleurs aériens à modifier le trajet de certains avions, causent des orages magnétiques et entraînent des perturbations dans les communications satellitaires. Elles provoquent une coupure de courant en Suède.
Le 23 juillet 2014, la NASA annonce, dans un communiqué, que la Terre a échappé, le 23 juillet 2012, à une gigantesque tempête solaire, une tempête jamais vue depuis 1859 qui, si elle avait touché notre planète, aurait pu renvoyer la civilisation contemporaine au dix huitième siècle, du fait que son impact aurait provoqué des dégâts d'une ampleur inédite, dont le coût dépasserait les 2 000 milliards de dollars.
Voici donc pour ce risque qui pourrait provoquer de sérieuses perturbations à la surface de la terre.
Un autre risque se profile à l'horizon : l'arrivée dans le système solaire de la planète X ou planète Nibiru.
Le grand public a pris connaissance de l'existence de cette exo planète en juin 2012, grâce à un lanceur d'alerte, informé par des astrophysiciens. La communauté scientifique et nos dirigeants savent depuis longtemps qu'une naine brune se dirige vers nous et qu'elle est susceptible de provoquer une série de cataclysmes planétaires.
Les scientifiques américains ont envoyés une sonde spatiale pour l'étudier. Ils observèrent de curieux phénomènes induits par cette planète, dont un champ magnétique extrêmement puissant. Elle émet essentiellement dans l'infrarouge.
Nibiru se rapproche et passera fin 2018, entre la terre et le soleil. Elle pourrait être la cause d'éruptions solaires gigantesques.
Son prochain passage à proximité de la terre et du soleil, que les politiques souhaitaient cacher au grand public pour des raisons facilement compréhensibles, fut révélé en 2000 par un archéologue, spécialiste de la civilisation mésopotamienne, Zecharia Sitchin, dans son livre : « La douzième planète ». Celui-ci soutient, que la planète Nibiru est un objet céleste non encore identifié par l'astronomie moderne, mais qu'elle pourrait provoquer, en se rapprochant de la terre et du soleil, d'importantes perturbations et destructions, une combinaison de plusieurs facteurs comme séismes, tsunami, éruptions volcaniques, changements climatiques, comme ce fut le cas dans le passé, selon le récit de certaines tablettes sumériennes.
Il est un fait indéniable, c'est que nous observons depuis quelques années une amplification des phénomènes climatiques et terrestres.
La petite île de Barbuda, dans les Caraïbes, a été "totalement dévastée" la nuit du 5 septembre 2017 par le passage de l'ouragan Irma. Ce puissant ouragan de catégorie 5, soit le maximum de la catégorie d'intensité, a causé des destructions telles que l'île n'est plus qu'un tas de décombres. Avec des vents de près de 300 km/h, Irma a également balayé l'île franco-néerlandaise de Saint-Martin. Les services de télécommunications ont été fortement endommagés et l'île fut coupée du reste du monde durant plusieurs jours. Irma est le cyclone le plus puissant jamais enregistré dans le monde par les services météorologiques, depuis le début de l'ère satellitaire, il y a cinquante ans.
Aux Etats Unis, 6 millions de personnes ont été privées de courant électrique. L’agence américaine des situations d’urgence, la FEMA, a indiqué que 192.000 personnes furent hébergées dans des abris en Floride et 7.000 en Géorgie.
Un ouragan comme Matthew peut-il survenir en France ?
Au cours de l'ouragan d'octobre 1987, les vents violents atteignirent 219 km/h à Granville. 1 250 000 foyers furent privés d'électricité et des milliers d'arbres furent couchés par terre. 36000 lignes de téléphone ont été coupées. Le montant des dégats fut estimé à 23 milliards de francs, soit plus de 3,5 milliards d'euros. D'après les spécialistes, les dommages sont équivalents à ceux d'un ouragan de force 3, ce qui valut à cette tempête le nom d'"ouragan de 1987".
Coup de chance : elle a balayé nos côtes par des coefficients de marée peu élevés, ce qui ne sera, hélas, pas le cas lors de la tempête Xynthia en 2010. Rappelez-vous de cette dépression majeure qui frappa la France et plusieurs pays européens entre le 26 février et le 1er mars 2010, au moment des grands coefficients de marée.
Il y eut aussi les tempêtes dévastatrices de fin décembre 1999. Comme en 1987, de nombreux médias parlèrent d'« ouragans » pour ces « tempêtes du siècle », appelées ainsi en raison de la force exceptionnelle des vents.
Nos côtes reçoivent régulièrement les « restes », parfois dévastateurs, d’anciens ouragans qui, après avoir ravagé les Caraïbes et les côtes américaines, sont pris dans les flux perturbés de l'ouest atlantique. Ils sont, certes, moins puissants qu’à l’origine, mais peuvent néanmoins frapper violemment nos côtes.
Il suffirait donc de peu de chose pour que notre pays connaisse, lui aussi, des phénomènes climatiques intenses qui nous priveraient de nos possibilités d'alimentation en électricité et eau potable.
Il existe une autre importante possibilité de perturbation majeure : Un clash informatique mondial.
Nous avons construit une civilisation où l'informatique est indispensable et vitale pour la marche de nos activités industrielles et commerciales, ainsi qu'à la distribution des énergies dont nous avons besoin pour notre confort.
Un clash informatique mondial peut-il se produire ?
Si nous nous référons aux études effectuées sur l'univers électrique, cette hypothèse est parfaitement plausible.
L'idée d'un "univers électrique" a de nombreux pionniers dans la communauté scientifique. Nous en citerons quelques-uns :
Christian Birkeland (Norvège, 1876-1917).
Irving Langmuir (USA, 1881-1957, prix Nobel en 1932)
Hannes Alfvèn, considéré comme le père d'une approche électrique de l'univers, a obtenu le prix Nobel en 1970 pour son travail sur ce sujet, bien que ses recherches aient été ignorées par la majorité de la communauté scientifique.
Plus récemment, Anthony Peratt, Donald Scott, David Talbott, Wallace Thornhill, d'éminents scientifiques de ce domaine, conduisent d'actives recherches et publient leurs résultats dans des revues scientifiques.
Les affirmations de base de la théorie électrique de l'espace sont :
1 - L'espace n'est pas vide mais rempli de plasma.
2 - Les corps célestes ne sont pas neutres, mais chargés et reliés entre eux par des champs électriques et électromagnétiques.
Cette théorie a reçu un certain nombre de confirmations que je n'exposerai pas afin de ne pas alourdir mon exposé.
Il est facile de comprendre que si l'espace n'est pas vide, si un courant relie les planètes et les soleils, il peut y avoir des surtensions au sein du système.
Nous pouvons comprendre que l'explosion d'une super nova peut induire une vague au sein du champ plasmatique et créer plus tard une surtension du champ électrique au niveau de notre planète.
Les éruptions solaires agissent de la même manière.
Alors, un clash informatique mondial est possible dans le futur et il est facile d'en mesurer les conséquences.
Notre société est extrêmement fragile et nos dirigeants le savent bien. C'est la raison pour laquelle ils se sont construit des abris pour eux et leur proches. Il existe 5000 abris souterrains en Russie et les Etats Unis disposent de 150 bases souterraines de grandes ampleurs.
La réserve mondiale de semences du Svalbard en Norvège est une chambre forte souterraine sur l'île norvégienne du Spitzberg destinée à conserver dans un lieu sécurisé des graines de toutes les cultures vivrières de la planète afin de préserver la diversité génétique en cas de difficulté planétaire majeure.
Ainsi est-il possible de constater que la potentialité d'une crise majeure qui nous priverait des éléments essentiels à notre vie, comme l'électricité et le chauffage, est loin d'être nulle et qu'il est de notre devoir d'agir si nous partageons la devise : « diriger, c'est prévoir ».
Nous devons agir pour que nos proches ne souffrent pas si l'une de ces perturbations se produit. Nous verrons que si nous construisons une habitation, prendre les mesures que nous allons évoquer représente une part faible de l'investissement. Il serait vraiment dommage de ne pas offrir la sécurité à ceux que nous aimons.
Je préfère vous expliquer ce que j'ai réalisé dans ma villa, plutôt que de vous exposer de belles et grandes théories.
A notre retraite nous nous nous sommes installés à Saint Raphaël, dans le Var. Nous avons acheté une petite maison sur les hauteurs de la ville, à 60 mètres au dessus du niveau de la mer. Puis nous avons apporté les modifications pour qu'elle réponde à nos objectifs. Nous avons coupé la toiture sur 150m2 et construit deux étages supplémentaires.
Afin de limiter notre consommation en énergie, j'ai innové dans un chauffage solaire de mon invention.
Le soleil transmet à la terre 2 calories par cm2 et par minute. 50% de cette énergie atteint la surface terrestre. Chaque m2 de la surface terrestre exposée perpendiculairement au rayonnement solaire reçoit donc 0,7 KW.
Les capteurs solaires de mon invention sont vraiment très simples. Ils sont constitués de panneaux en polypropylène dans une armature en aluminium. Inclinés de 45 degrés contre un mur isolé, ils ont une section de 1,5 par 1,5 m et une longueur de 6 m. J'ai placé à l'intérieur 3 tonnes de galets selon une géométrie préalablement expérimentée afin de favoriser la convection naturelle interne. Ces galets sont peints en noir. Par l'effet « corps noir », ils emmagasinent l'énergie du spectre visible et par l'effet de serre l'énergie de l'infra rouge, ce qui explique un rendement élevé. En hiver, les galets atteignent 65 degrés Celsius.
Il suffit d'un ventilateur branché sur un thermostat classique pour introduire la chaleur emmagasinée dans les galets au sein de l'habitation.
Je consomme en moyenne, chaque année, 23 KWH par m2 et par an pour l'ensemble de mes besoins énergétiques, soit moins de la moitié de ce qui est nécessaire pour être classé dans la meilleure classe énergétique, la classe A.
J'ai installé des sondes thermiques afin de mesurer l'efficacité du capteur solaire. Ainsi, sur la base de mesures incontestables, j'ai pu constater que son rendement à l’équinoxe de printemps était de 85% et de 71% au solstice d'hiver. (la baisse du rendement est essentiellement due à l’inclinaison du capteur par rapport à l’axe terre/soleil). Quand on sait que le rendement énergétique d’un panneau de cellules photovoltaïques est au mieux de 15 à 18%, vous mesurez l’intérêt de cette technologie solaire directe.
J’ai travaillé avec un architecte expérimenté, très intéressé par l’introduction des énergies renouvelables au sein des bâtiments. Il m'a permit d’introduire les capteurs dans l’architecture de ma villa, lui préservant l’esthétisme et la beauté que je souhaitais.
Vous pourrez me rendre visite si vous le souhaitez pour le constater.
En complément à ce chauffage solaire, j'ai installé des pompes à chaleur à COP élevé, mais de faible puissance. Cela me permet de chauffer en hiver lorsque le soleil est caché et de rafraîchir en été.
Compte tenu des risques majeurs dont je vous ai entretenus, je souhaitais acquérir une indépendance énergétique, non seulement pour le chauffage, mais aussi pour l'électricité nécessaire à la bonne marche d'une maison. Je souhaitais être autonome pour une durée égale ou supérieure à une année. J'ai partiellement innové car les matériels standards ne me permettaient pas d'atteindre mes objectifs. J'ai établi un cahier de charges et travaillé en collaboration avec une entreprise locale pour installer :
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8 panneaux de cellules photovoltaïques représentant au total 2KW, placés en toiture.
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1 régulateur solaire.
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4 batteries solaire gel de 12 volts de 200 AH chacune.
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1 onduleur chargeur de 48V/5000W
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1 groupe électrogène de 5KW
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une armoire électrique pour gérer l'ensemble.
J'ai, par ailleurs, installé dans mon garage deux cuves de 1000 litres de fuel pour l'alimentation du groupe électrogène en cas de besoin.
L'ensemble m'est revenu à moins de 12 000 euros.
Ces deux installations, chauffage solaire et production autonome d'électricité m'offre une excellente sécurité en cas de difficulté majeure, mais je souhaitais être aussi indépendant du point de vue de l'alimentation en eau potable. J'ai la chance d'avoir une petite source qui coule sous ma maison. Il m'a suffi d'installer une pompe, des filtres, un appareil pour éliminer le calcaire et une lampe ultra violette pour traiter l'eau et la rendre potable. Si vous n'avez pas de source d'eau ou un puits à proximité, il est tout à fait possible de récupérer les eaux de pluie et de les traiter comme je l'ai fait.
En cas de difficulté majeure, il faut aussi penser à l'approvisionnement alimentaire. Pour résoudre ce problème, j'ai trouvé des producteurs dans un rayon de 20 kms autour de mon domicile. Je m'approvisionne auprès d'eux et continuerai de le faire en cas de difficulté, grâce à une voiture électrique que j'envisage d'acheter. J'ai aussi prévu quelques matériels et quelques produits alimentaires d'avance.
Mon investissement, hors véhicule électrique, pour assurer ma sécurité et celle de mes proches représente moins de 3 % du montant de mon investissement global. Aussi je conseille vivement celles et ceux qui construisent leur habitation, de suivre mon exemple.
Afin de partager mon expérience et aider les gens à prendre conscience des risques majeurs auxquels nous sommes exposés, j'ai publié en mai 2017, aux éditions Mélibee, un ouvrage qui porte le titre de « Oasis de Lumière ».
Je souhaitais transmettre ces informations, mais éviter le côté anxiogène du sujet. Il me fallait écrire un ouvrage qui attire l'attention, mais demeure agréable à lire, éviter le catastrophisme... Je me suis rappelé qu'après chaque tempête, le soleil brillait à nouveau. Alors, j'ai écrit un roman d'anticipation qui parle d'un NOUVEAU MONDE qui émergerait des difficultés annoncées. Je ne décris pas un monde à la Huxley, mais un monde plus libre, plus juste et plus humain, en fait un monde que chacun espère sans vraiment y croire.
Cet ouvrage invite à construire des lieux que j'appelle « OASIS DE LUMIERE », lieux de sécurité pourvus des équipements nécessaires pour traverser les difficultés passagères qui résulteraient de la manifestation de l'un ou l'autre des risques majeurs énoncés.
Si mon exposé vous a convaincu, n'hésitez pas à informer votre entourage et vos clients sur les dispositions et préventions qu'ils peuvent adopter.
180 000 maisons individuelles neuves sont construites chaque année en France. Il est possible d'agir pour qu'une partie de ces constructions intègre les installations sécuritaires que je recommande. Cela relève de la compétence des membres du Cobaty qui peuvent contribuer à leur développement.
Je vous rappelle qu'il vous est possible de me rendre visite à Saint Raphaël afin de vous appuyer sur une réalisation concrète. Vous serez aidé par l'architecte, membre du Cobaty, qui a réalisé avec moi cette maison et ses équipements.
Si vous souhaitez commander mon ouvrage :
https://www.thebookedition.com/fr/oasis-de-lumiere-p-372624.html
Si vous souhaitez vous informer sur la planète NIBIRU :
https://www.youtube.com/watch?v=LgKA8TKfpG0
NB : Ceux qui ne construisent pas leur habitation principale, peuvent cependant agir en installant, selon leur possibilité, une installation électrique de secours. Il existe des kits de 200W à 5KW qu'il est possible de faire installer par un électricien. A titre d'exemple, un kit de 900W, 220V avec 5 KW de batterie vaut 2 200 euros environ.
Pour les produits alimentaires, je peux vous transmettre l'adresse de mon fournisseur Internet qui me procure des produits pouvant se conserver jusqu'à 25 ans.
Article écrit en décembre 2017.
Date de dernière mise à jour : 15/05/2020
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