QESTIONS 7

Dimanche 18 Mai 2025.

QUESTIONS VII

Nous avons encore, Père Mère, quelques questions concernant les dons d’organes. Un donneur est-il « mort » ou vit-il à moitié ailleurs ?

Vos organes sont un amas de cellules. Celles-ci ont une mémoire, la mémoire de leur existence terrestre. Elles vont s’adapter à leur nouvelle enveloppe physique. Cependant elles gardent la mémoire de la première et peuvent influer sur le comportement du receveur. Cela a été observé et vécu par certains d’entre eux qui en ont témoigné. Une Alchimie subtile est à l’œuvre ici et la compréhension que vous pouvez en avoir est très limitée. Ne cherchez pas à tout comprendre avec votre mental humain. Vous serez vite stoppé et déçu. Ma Création est à la fois d’une simplicité évidente mais peut vous sembler d’une complexité insurmontable dans ses mécanismes de fonctionnement. Ne cherchez pas à tout appréhender dans vos existences actuelles. Les paramètres humains qui vous cadrent vous empêchent d’embrasser Ma Réalité dans son Entièreté. Vous retrouvez la compréhension totale, la Connaissance, une fois parvenus sur Mes Plans Divins, parfaitement conscients de notre Unicité, La vivant pleinement. Revenons à la question. Patrick parle de « mort » du donneur. Vous savez maintenant, Mes Enfants dont la mémoire défaille souvent, que la Mort n’existe pas. Vos organes appartiennent à votre existence terrestre. Vous les laissez, vivant en d’autres corps ou en décomposition sous terre, ou en cendre. Votre Ame, Elle, poursuit son chemin, d’abord dans son corps spirituel, qu’elle abandonne aussi au fur et à mesure du passage de ses paliers d’évolution.

Pourtant, on dit que nous gardons des traces de nos vies antérieures dans nos cellules ? Alors on n’abandonne pas tout ?

Tout cela relève de l’Alchimie Subtile dont Je t’ai parlé précédemment. Pour plus de simplicité, Je te dis que votre Ame recrée des conditions identiques quand, confrontée à des expériences d’évolution, elle n’a pu les mener à leur terme de résolution. Dans vos mémoires cellulaires il y a aussi des gênes héréditaires de vos parents et ascendants qui entrent en jeu.
Justement, Tu es là aussi non ?

Bien sûr. Mon Activité de Père pose la Volonté de Création, Mon Amour de Mère en assure le but. En réponse à votre question, le « mort » continue de vivre sur les plans spirituels mais il ne vit pas « à moitié » dans le corps d’un receveur. Nous avons ici répondu à la question de savoir si le donneur continue son évolution ou s’il doit attendre que tous ses organes greffés soient morts. Que voulez-vous dire quand vous parlez de problèmes au niveau de la conscience ou au niveau spirituel ? Encore faut-il nous entendre, Mes Enfants d’Amour souvent égaré, sur ces notions de conscience et de niveau spirituel. Moi, Le Père Mère Créateur, Conscience Divine Universelle, vous dit que la Conscience est l’Esprit agrandi par Ma Re Connaissance. Le Plan Spirituel est, par définition, l’espace où l’Esprit évolue. Son champ d’Action parcourt votre corps physique mais se déploie aussi en toute Liberté dans votre Conscience, parfois extérieure à votre matière dense, parfois intérieure. Elle EST, ELLE, projection, émanation de Ma Propre Conscience Divine. AINSI CELA EST, Mes Enfants d’Amour distrait mais agrandi. Merci Ma Fille d’Amour fidèle, pour la régularité que tu accordes à nos échanges.

Je serais bien ingrate s’il n’en était pas ainsi !

Ce mot n’existe pas dans Mon Lexique Divin. Maintenant, transmets à Tes Frères et Sœurs en Humanité. Certains attendent de découvrir nos échanges. Qu’ils sachent qu’ils ont, TOUS, en eux, la capacité de Me transcrire. Ce n’est pas réservé à quelques « privilégiés ». Mot qui ne fait pas non plus partie de Mon Répertoire.

Oui, nous le savons et j’espère que nous serons de plus en plus nombreux à accepter la transmission de Tes Paroles de Vie, de Paix, d’Amour. Sans oublier cette Joie indéfectible qui s’installe en Nos Cœurs. Merci Père Mère.

Date de dernière mise à jour : 19/05/2025

Commentaires

1 Marie d'EME Le 26/05/2025

Ce que tu dis Claude rejoint complètement les conclusions du Docteur JJ CHarbonnier, qui a d'ailleurs écrit un ouvrage intitulé "La Conscience Extra Neuronale". Pour lui après de nombreuse expériences en tant que médecin anesthésiste réanimateur, nous aurions deux consciences. L'une qu'il appelle a CAC, la conscience cérébrale analytique qui fait partie de notre corps physique et une autre la Conscience Extra Neuronale qui "voyage".... C'est elle qui quitte notre corps et qui "raconte" ce qui est vécu lors des sorties de corps, de comas, etc... Ce livre est intéressant. C'est un sujet qui, maintenant, fait l'objet de thèses de médecine. Quel progrès ! Merci pour le témoignage de Marie France.
2 Marie-France Le 19/05/2025

Merci, Merci, Merci. Cela est très intéressant, Suite à une opération du coeur, je m'étais rendue compte que quelque chose n'allait pas en moi.
J'ai donc posé la question au chirurgien s'il y avait eu transfusion, la réponse a été oui. J'ai donc fait un travail personnel par rapport au sang transfusé, aux mémoires
contenues, et je pense être parvenue au résultat escompté, je n'avais plus les même sensations après ; cela s'est passé en 2019.
De tout coeur.
Angelica
3 Claude Delarose Le 19/05/2025

J'ai lu récemment que la plus grande découverte scientifique aura lieu lorsque l'on se rendra compte que la conscience fonctionne indépendamment du corps physique.
Mais il me semble nécessaire de différencier " conscience de l'âme " et " conscience cellulaire ". La conscience de l'âme appartient à l'expérience acquise au cours des différentes incarnations et fonctionne indépendament du corps physique, alors que la conscience cellulaire est inhérente au fonctionnement de la cellule ou de l'organe. Lors d'une greffe, la conscience cellulaire demeure. Cette conscience comprend la conscience de la lignée, transmise à la naissance du corps et peut-être différente, bien sûr, de la conscience des autres organes. C'est l'une des raisons des rejets et de la nécessité de faitre taire cette mémoire par des médicaments.
Le problème le plus crucial intervient lors de la greffe d'un coeur.

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