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Univers torique. Univers jumeaux. Trous noirs et matière noire.

 

 

 

Par Isaac Plotain, auteur des 2 ouvrages "Sciences secrètes"

 

Dans le premier tome de « Sciences secrètes », je vous ai fait part des conclusions auxquelles je suis parvenu, après trente années de recherches :

            1 – Notre espace n’est pas vide, mais rempli de micros électrons qui réagissent de différentes façons avec la matière et l’antimatière.

            2 – La gravitation est une résultante de la circulation de ces micros électrons mis en mouvement par la présence de masses.

            3 – La cohésion de la matière, comme de l’antimatière est une conséquence de la présence de ces micros électrons, au sein du milieu cosmique.

            4 – La pression du milieu au centre de l’univers, conséquence d’un milieu excessivement dense, est à l'origine de l’expansion de l’univers. Cette pression diminue quand on s’éloigne du centre.

            5 – Sous l’action d’une forte pression du milieu, la matière se diffuse dans l’espace, alors que l’antimatière se concentre en sphères de forte densité.

            6 – Cette propriété d’interaction du milieu avec la matière et l’antimatière entraîne les astres à se structurer sous la forme de sphères creuses, l’antimatière au centre et la matière en extérieur.

   Ainsi, l’antimatière que nous recherchons au sein de l’univers se trouve t-elle non seulement au cœur des trous noirs, mais aussi au cœur de chaque étoile… et de chaque planète.

 Ces hypothèses sont étayées  par un certain nombre de preuves et d’expériences scientifiques qu’il m’est possible de vous faire connaître, si vous décidez de correspondre avec moi, au travers de mon article sur la terre creuse.

 Elles m’ont permis de formuler une cosmologie de l’univers que je transmets au travers de cet article.

 L’existence possible d’un milieu constitué de micros électrons m’a amené à considérer la possible existence d’un univers jumeau, parallèle au nôtre qui serait constitué de micros positons.

 En étudiant l’interaction de la matière et de l’antimatière avec ce nouveau milieu, je me suis rendu compte que les astres pouvaient se reconstruire à l’inverse, la matière étant au centre et l’antimatière à l’extérieur. Ils pouvaient ainsi voyager en cet univers jumeau et retourner vers le centre.

 J’ai alors compris que le big bang n’était peut être pas unique, mais correspondait à un phénomène périodique. Il n’y aurait donc pas un seul big bang, mais une série de big bang dont serait issue chaque galaxie. Ainsi pourrait-on expliquer que certains amas galactiques relativement jeunes soient plus proches de nous que certains amas plus anciens. Certaines observations m’ont permis de penser que l’intervalle entre deux big bang pourrait être de l’ordre de 100 à 120 millions d’années.

 Voici cette cosmologie :

 Si nous considérons un univers formé de micros électrons et un univers jumeau constitué de micros positons, nous devons nous interroger sur l’origine de ces deux espaces : ils découlent nécessairement d’un univers constitué de particules neutres d’où ces deux espaces seraient originaires. Si nous essayons d’imaginer la structure que peut prendre ces deux univers, en les comparant à ce que nous connaissons des zones dépressionnaires et anticycloniques dans un espace à deux dimensions, nous pouvons comprendre que l’ensemble de chacun ces deux univers jumeaux se présente sous la forme de deux tores emboîtés l’un dans l’autre. Pour le premier univers, le diamètre de ces tores va en augmentant. Il va en rétrécissant pour l’autre univers. Nous comprenons que chacun de ces 2 tores tournent sur lui même et que les galaxies se meuvent en un mouvement spiralé entre les parois de ces deux tores qui se dilatent, puis se rétractent.

 Afin de comprendre le fonctionnement de cet univers selon cette cosmologie, nous devons considérer qu’il a toujours été. Nous pouvons lui appliquer le principe selon lequel rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.

 Le centre serait à l’image du cœur humain et les univers jumeaux comparable au système circulatoire, tantôt veine, tantôt artère. Les milieux de micros électrons et micros positons seraient comme le  sang rouge et le sang bleu…

 Au centre de l’univers, un champ de particules neutres servirait de valve au cœur de l’univers.

 Nous allons comprendre comment ce cœur peut fonctionner :

 Au départ, lors d’un big bang, un battement du cœur de l’univers propulse une masse identique de matière et d’antimatière dans notre espace. Les conditions de pression sont telles que l’antimatière se structure en une immense sphère, première étoile à l’origine d’une galaxie. Sous les conditions de pression, la matière se désintègre en microparticules qui, progressivement, reviennent s’agglomérer autour de la sphère d’inversion de la pression du milieu générée par la sphère antimatière. (Voir les explications fournies sur la formation de cette sphère dans l’ouvrage « Sciences secrètes, tome 1 »).

 Je sais que cette théorie de la création d’une galaxie lors d’un mini big bang fera sursauter plus d’un astrophysicien. Il n’existe pourtant aucune théorie valable sur cette formation et la découverte relativement récente d’un trou noir au centre de chaque galaxie pourrait accréditer mon hypothèse comme je l’expliquerai plus loin.

 Quand la pression exercée sur le milieu qui isole la matière de l'antimatière devient trop forte, cette première étoile explose. Nous sommes au début du cycle d’explosions des étoiles qui durera 2 milliards d’années et créera les étoiles constitutives d’une galaxie.

 Après la phase tumultueuse de notre univers, nous entrons dans un long cycle de stabilité qui, cependant ne va pas durer. Quand, au fur et à mesure de l’expansion de l’univers, la pression du milieu diminue, la sphère d’inversion de la pression du milieu s’éloigne du centre des étoiles, entraînant la matière avec elle. Ainsi, les étoiles grossissent, puis  deviennent, selon leur taille, des naines blanches  ou des étoiles géantes qui finissent par exploser pour ne laisser la place qu’à des trous noirs.

 Pour l’instant, nos instruments ne nous ont pas permis de regarder ce qui se passe plus loin. Mais des calculs ont permis d’émettre des hypothèses sur la possible existence de « matière noire ».

 Les astres continuent de se désagréger. La pression du milieu devenant faible, l’antimatière ne peut rester compacte et les trous noirs finissent par disparaître en de minuscules boules d’antimatière de la taille d’une planète,  puis d’amas de plus en plus petits. La matière continuant de s’agglomérer autour de l’antimatière, constitue cette matière noire dont nous décelons la présence par son interaction avec l’univers visible.

 Entre notre univers et l’univers jumeau, une zone de particules neutres permet à la matière et à l’antimatière de poursuivre leur chemin sans se détruire mutuellement, puis de se reconstruire en cet univers inverse, parallèle au nôtre et jumeau de notre propre univers. Le tore se retourne sur lui-même et enveloppe le premier tore. Dans celui-ci les étoiles sont constituées de matière au centre et d’antimatière à l’extérieur. L’univers est en contraction et lors de la phase ultime, une seule étoile géante réunifie les matériaux d’une galaxie en une seule sphère qui explose. Cette explosion provoque l’ouverture de la valve de particules neutres et les matériaux sont projetés à nouveau dans notre univers…

 Une nouvelle naissance a lieu. Un cycle est bouclé.

 Je viens de vous décrire un super univers constitué d’un univers et de son jumeau. Rien n’empêche de prévoir l’existence d’autres supers univers qui s’épanouiraient de la même façon depuis le centre.

 1 - Les trous noirs.

A – Nature d’un trou noir.

 Les trous noirs, selon les conséquences même de ma théorie, seraient constitués d'antimatière comme le pressentent les scientifiques. A la différence d'une étoile, un trou noir ne s'est pas encore constitué d'un corps matière ou il est une étoile morte, résultat de l’explosion d’une étoile géante.

 Le milieu cosmique est constitué de particules négatives ou micros électrons. Ces particules sont attirées par les positons de l'antimatière. Ces micros électrons forment un bouclier de protection très dense autour de la sphère d'antimatière. Cette ceinture très dense piège la lumière.

 En effet, la vitesse de la lumière est, comme je l'ai exprimé, une fonction de la densité du milieu. C'est la donnée qui manque à la théorie de la relativité. Cette vitesse tend vers l'infini quand la densité du milieu devient nulle et inversement, elle devient nulle quand la densité tend vers l'infini. C'est ainsi que la vitesse de la lumière devenant nulle à proximité d’un trou noir, elle s'y trouve piégée et le corps apparaît noir pour cette raison.

 Comme je l'ai exprimé, une sphère antimatière attire la matière au niveau de la sphère d'inversion de la pression du milieu. Voici le second point en phase avec mes théories : un trou noir est reconnu comme un piège à matière.

 Mais la matière ne disparaît pas au coeur du trou noir, elle s'amoncelle au niveau de la sphère d'inversion de la pression du milieu. Il est facile de comprendre l'avenir d'un trou noir : il deviendra une magnifique étoile lorsque la quantité de matière sera proportionnée à la quantité d'antimatière. Les scientifiques pressentent aujourd'hui que les trous noirs seraient à la base de la création des étoiles. Il en est bien ainsi selon mes théories...  

        B- Trous noirs au centre des galaxies.

J’ai expliqué qu’une galaxie se formait périodiquement lors du battement du cœur de l’univers. L’antimatière et la matière expulsées en même quantité réagissent de manière différente avec le milieu : l’antimatière se concentre en une énorme sphère alors que la matière se diffuse dans l’espace. Avec le temps, celle-ci se concentre au niveau de la sphère d’inversion de la pression du milieu générée par la sphère d’antimatière. Quand la quantité de matière atteint un seuil critique, le tout explose. La matière est propulsée dans l’espace, tandis que les morceaux du cœur antimatière sont, eux aussi, propulsés au loin.

Pour justifier, de nos jours, l’existence d’un trou noir au centre de la galaxie, il faut penser qu’une partie centrale du cœur antimatière est resté figé sur place, alors que les morceaux de la périphérie se trouvaient propulsés au loin. C’est tout à fait concevable. Il demeurerait donc une sphère antimatière au centre de ce qui deviendra, plus tard, la galaxie.

Lorsque les étoiles de seconde génération explosent à leur tour, elles envoient de la matière vers le centre, cœur antimatière de la galaxie. Celui-ci récupère donc une partie de matière, atténuant de ce fait la puissance du trou noir central. C’est ce qui a été observé par les astrophysiciens : les trous noirs, au centre des galaxies, sont moins actifs que les trous noirs issus des étoiles géantes.

De tout cela, il résulte un excès d’antimatière au centre de la galaxie et un excès de matière dans les espaces éloignés du centre. La poussière cosmique existe bien et les scientifiques ont établi que 40 000 tonnes de poussières tombaient encore sur terre chaque année depuis des dizaines de milliers d’années.

        C – Trous noirs issus de l’explosion des étoiles géantes.

La plupart des trous noirs se seraient formés à la suite de la mort des étoiles géantes. Suivant son évolution, une étoile peut devenir une naine blanche, une étoile à neutrons ou, si sa masse est supérieure à 3,2 fois celle du soleil, un trou noir. 

J’ai expliqué dans « Sciences Secrètes », tome 1, que la sphère d’inversion de la pression du milieu qui constitue le lieu où s’accumule la matière, s’éloignait du centre de l’étoile, au fur et à mesure que la pression du milieu diminuait. Ainsi la matière s’éloigne-t-elle de l’antimatière, transformant l’étoile en une étoile géante, avant de s’éteindre et devenir un trou noir.

Le trou noir apparaîtra lorsque la matière se sera dispersée. Pour cela il faudra que la matière soit suffisamment éloignée de l’antimatière. Cela explique probablement la raison pour laquelle il est nécessaire que la masse critique de l’étoile soit suffisante, soit 3,2 fois celle du soleil, afin que la matière se disperse.

2 – La matière noire.

 Voyons ce qu’est LA MATIERE NOIRE selon les astrophysiciens :

 La matière noire est un concept très important en cosmologie et en astrophysique moderne. Dans un certain nombre d'objets astrophysiques, les mouvements observés sont différents de ceux auxquels on s'attend en théorie, quand on essaie de les déduire de l'action gravitationnelle des masses qu'on observe. Tout se passe comme si une densité de masse invisible était présente.

Ensuite, le modèle standard de formation des grandes structures dans l'Univers, qui explique d'une part comment les galaxies et les amas de galaxies se forment, et d'autre part les propriétés du rayonnement de fond cosmologique, ne permet de rendre compte des observations qu'à condition que l'Univers contienne une grande quantité de masse sous une forme différente de la matière ordinaire.

Plusieurs questions se posent alors : cette matière noire existe-t-elle vraiment ? Si oui de quoi est elle constituée ?

Ces problèmes de matière noire ont motivé un grand nombre de recherches qui ont abouti à des découvertes importantes en astrophysique et cosmologie. 
 Une solution possible est que les galaxies contiennent une composante non détectée, dont l'attraction gravitationnelle est responsable de l'écart observé. En fait, les calculs montrent que cette composante devrait être beaucoup plus importante que l'ensemble des composantes visibles, par un facteur 5 à 10. Ce facteur dépend des hypothèses que l'on fait sur la façon dont cette matière noire serait répartie dans la galaxie. Deux grandes hypothèses ont longtemps été en concurrence : celle du disque maximale, dans laquelle la matière noire est répartie dans un disque épais qui se superposerait au disque stellaire, et celle du halo sphérique, dans laquelle la matière noire est répartie dans un grand halo avec la symétrie sphérique. La deuxième hypothèse est maintenant favorisée.

      - A : Quantité de matière noire

La cosmologie nous indique que la composition de l'univers serait approximativement :

       73 % d'énergie noire

       27 % de matières réparties comme suit

            - 23 % de matières non baryoniques

            - 4 % de matières baryoniques

L'étude des amas de galaxies indique que 90 % de leur masse est sous une forme invisible.

L'étude des galaxies elles-mêmes indique que la grande majorité de leur masse aussi est sous forme invisible.

Pour ma part, il me semble que la quantité de matière noire varie d’une galaxie à l’autre. Une galaxie jeune contiendra peu de matière noire et une galaxie éloignée du centre de l’univers en contiendra une forte proportion.

      - B : Distribution de la matière noire dans l'espace : les amas de galaxies.

L'observation des amas de galaxies permet de montrer que la matière noire est distribuée de façon moins concentrée, plus étendue, que la matière ordinaire.

      - C : Les simulations numériques : des grumeaux de matière noire ?

L'émergence de l'informatique a permis de disposer d'un outil nouveau pour étudier l'Univers : les simulations numériques. En faisant des hypothèses sur les propriétés de l'Univers primordial, on peut simuler son évolution jusqu'à aujourd'hui selon les lois de la physique, et comparer avec ce qu'on observe en effet. Ainsi, les simulations permettent de retrouver la distribution de matière noire autour des amas de galaxies. Elles permettent alors d'aller un peu plus loin que la "simple" comparaison avec les observations.

En effet, ces simulations indiquent que sur de petites échelles, la matière noire aurait tendance à former des grumeaux, avec des masses de la dimension de la terre à celle d'une galaxie.

       - D : Concordances avec ma théorie :

 J'ai expliqué qu'à un certain stade de leur évolution, les étoiles devenaient des géantes qui explosaient ou se réduisaient à des étoiles naines. Un peu plus tard, les parties de matière et d'antimatière se recombinent dans un milieu très peu dense en grumeaux de la taille d'une planète, sans la luminosité d'une étoile. A ce stade, la matière est encore à l'extérieur. Ces grumeaux diminuent au fur et à mesure que la galaxie  s'éloigne du centre de l'univers.

 Dans cette phase intermédiaire de son évolution, matière et antimatière apparaissent obligatoirement comme de la matière non visible qui influence les forces gravitationnelles.

  Selon ma théorie, ces grumeaux apparaissent nécessairement à l’extérieure d’une galaxie. Les observations faites vont en ce sens.

      E - Conclusion.

 Je conclurai sur une simple interrogation :

 Si la forme torique de l’univers était un jour confirmée, ainsi que le parcours spiralé des galaxies à l’intérieur d'un tore, ne devrions nous pas conclure à l’existence, non pas d’un seul, mais de deux univers jumeaux, l’un se repliant vers le centre et le second vers l’extérieur du tore?

 

 

Date de dernière mise à jour : 23/11/2020

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