Créer un site internet

J'ai été Druide, Templier et Cathare...

 

Ami, Amie, je veux t’apporter mon expérience du karma. 

Nous prenons conscience du karma très tôt ou parfois très tard. Mais son enseignement intérieur nous apprend beaucoup.

 La quête initiatique « réveille » des souvenirs inconscients ou oubliés. Certains, parfois, lors de nos initiations, se présentent à notre conscience extérieure objective. J’entends beaucoup de personnes dirent « ah que j’aimerais me souvenir de mes vies ! ». Je dirais qu’en ce domaine il faut avoir les épaules solides. Ce qui vous bouscule dans cette vie n’est rien, quand on ouvre la poubelle du karma.

Excusez moi pour cette expression, mais ce que l’on a été est certainement beaucoup moins bien que ce que l’on croit. Et puis, trop regarder en arrière ne vous aidera pas à regarder en avant. Nous sommes ici pour demain, pas pour hier ; la mission  est éternelle.

 Un jour j’ai fait un travail de méditation avec un précepteur en raja Yoga. J’avais, je crois, 38 ans et en 30 minutes j’ai revu entre 115 et 130 vies qui défilaient. J’étais déjà habitué aux idées sur le Karma, depuis que j’avais fréquenté la Massenie du st Graal et que j’avais retrouvé de nombreuses vies mais, là, j’étais stupéfait d’autant plus que mon but était de rencontrer un yogi de la chaîne alchimique. Ce qui est arrivé, puisque je l’ai rencontré très haut dans une sphère, hors de notre plan. Mais à cette occasion, aussi haut que je sois allé, je suis toujours redescendu dans mes propres karmas. J’ai été visiter les karmas de la Lémurie ainsi que d’autres vies... Rien ne semblait paisible, finalement. Mais être ici, en méditation, m’a comblé de joie. Etre conscient de la vie,  de mon soi, était un véritable trésor.

 Gabrielle de la Massenie Templière disait qu’il ne fallait pas confondre le rêve et le voyage. C’était exact, le rêve peut resituer des situations de l’inconscient personnel, le voyage, lui,  échappe à notre dimension.

 Mon travail intérieur a commencé vers 7 ans où je me suis décorporé en cherchant dans un grenier un jouet, un avion à construire. Je suis descendu par un escalier qui allait dans le noir, puis je suis remonté en traversant un mur et me suis retrouvé dans un berceau, prostré, à mon grand étonnement. Je suis resté 1h ainsi dans cet état de conscience. Gabrielle m’a confirmé qu’il s’agissait d'une vision monastique.

 Vers 12 ans, dans l’Allier, j’ai rencontré un serpent rouge et noir avec qui j’ai parlé psychiquement en croyant que c’était un grand ver. Il s’était lové autour de mon bras gauche et je n’éprouvais aucune peur. Quand les amis et enfants qui m’entouraient le virent, ils furent paniqués ; l’un deux prit une fourche et voulut le tuer. Alors, j’ai parlé au serpent mentalement ; je lui ai dit : cache toi vite, ils vont te tuer... et le serpent s’est délové, puis s’est caché dans des ruines. Une autre fois, toujours vers 12 ans, au cours d'un orage extrêmement violent, il pleuvait. Accompagné de ma mère et d’autres enfants, je leur dis : pourquoi courez vous ? Il ne pleut pas ! Ma mère me regarda, effrayée ; je me posais la question : pourquoi me regarde t’elle ainsi ? Et elle me dit : tu es entièrement sec !  Alors, après cet événement singulier qui l’avait bousculée, elle me parla du bouddhisme et du zen, se disant que finalement elle pouvait m’en parler. J’ai donc découvert le zen très tôt et cela m’apaisa.

 Plus tard, le soir en m’endormant, j'avais alors 19 ans, j’entendais des musiques classiques d'une grande clarté. Puis je fis de grands rêves, notamment sur des extra terrestres qui avaient aidé la terre autrefois. Comme Diogène, je me promenais devant la panique du monde qui courait dans des métros et s’y engouffrait.  Je leur disais : je vous avais prévenu ! Maintenant, il est trop tard ! Mais je semblais désabusé par ce monde, alors que des poulpes roses descendaient sur terre. Il était trop tard… pour eux. Nous avions prêché dans le désert et j’éprouvais une immense lassitude à voir tout ce gâchis, à voir tout ce qu’ils avaient négligé, en se moquant de nous. Et je me suis vu vivre dans une cabane comme Diogène, insultant cette humanité corrompue. J’étais excédé par leur arrogance. Alors qu’ils avaient failli, ils bombaient encore le torse...

 Je suis devenu rosicrucien à l’Amorc vers 20/21 ans. De 23 à 26 ans mes impressions furent de plus en plus intérieures, nombreuses  et prolifiques.

 J’ai commencé à faire des rêves de karma sur mes nationalités antérieures. Je précise nationalités car cela partait du judaïsme au taoïsme.  J'ai eu aussi une vie comme actrice à la Commedia dell’arte. Je savais que je ne pouvais plus recommencer ces vies là. C’était terminé, la leçon était apprise. On ne pouvait pas recommencer, même si c’était vraiment bien d’être une actrice. Et le fait d’avoir conservé une grande envie de me moquer m’étonnait encore.

 Une autre fois j’ai rêvé que j’avais été une femme japonaise qui sortait aisément de son corps et savait que la terre était ronde, car je sortais sur le plan physique.

 Enfin j’ai revécu en rêve une grande initiation fleurie en Inde sous les stupas. C’était splendide, extraordinaire. Quand je lisais la Gîta, j’étais complètement transporté, autant qu’en lisant les évangiles. J’ai eu l’expérience de Tavam Asi.  Inoubliable ! Parfois je rêvais de scènes qui se sont passées dans le futur. Notamment, dans les rencontres que je revoyais, j'étais face à l’hindouisme ; mais je savais que cela était terminé. Pour cette vie-ci je devais aller vers autre chose, mais sans précision aucune. Je devais découvrir pas à pas le chemin.

 Vers 26 ans, un soir, j’ai travaillé toute la nuit sur un projet architectural, puis vers 6h du matin j’ai pris un bain. Je me suis dédoublé consciemment. J’ai vu une scène terrible en Chine ; un  monastère était attaqué. Malgré des murs fortifiés de plus de 10 m de hauteur, nous fûmes envahis et assassinés. On sautait par dessus le mur et on s’enfuyait. Certains se sont échappés, mais pas tous. Je ne m’attendais pas à avoir cette lecture de vie. Cela m’a fait penser, beaucoup plus tard, à Shao Ling et à son exécution.

 J’ai aussi rêvé que j’avais été samouraï au Japon, mais que maintenant, avec la bombe atomique, tout cela n’était plus nécessaire. C’était comme un dialogue avec mon soi profond !

 Vers 23 ans, j’ai fait un grand rêve de délocalisation de plusieurs de mes corps  en même temps. J’ai vu le rêve que j’observais comme une masse nuageuse au dessus du rêveur, et je me voyais en train de rêver simultanément.  J’ai vu en vol, au 5ème  siècle, Gisors en Normandie.  C’était un village entièrement circulaire en bois de palissade et je voyais nettement tous ses environs. Je savais que Radegonde était avec nous comme une Epona - patronne des chevaliers -. Je volais très haut au dessus du village et j’ai vu que j’avais été druide dans la forêt de Trie château à coté de Gisors. Puis,  à la fin du rêve, je voyais de très haut un dolmen abandonné. J’ai dit tout haut : "je reprendrai la mission et ce dolmen revivra". Je pense qu’il s’agissait de la destruction du druidisme et de sa doctrine de réincarnation abolie au 5ème siècle par l’église. Mais à l’époque,  je ne savais pas encore ce que cela signifiait. J’étais trop jeune dans mes découvertes. Je sortais de l’Amorc et j’avais de nombreuses ouvertures psychiques, presque trop au vu du monde qui m’entourait, mais cela ne me dérangeait pas vraiment.

 Longtemps après,  j’ai revu plusieurs vies druidiques ou j’ai été assassiné et ce ne fut pas la seule vie,  malheureusement. Aux saintes maries de la Mer, j’ai été poursuivi sur une plage où l'on m’a tué. C’était une foule d’individus  qui me poursuivaient avec une fourche. Je n’étais d’ailleurs sûrement pas facile à l’époque car je traitais d’abrutis et d’imbéciles les gens qui me poursuivaient. J’en suis conscient, mais c’est au sein de la massenie, avec Gabrielle Carmi, dans un égrégore templier secret, que cette mission a repris.

 Dans les Pyrénées, je suis allé, par une très belle nuit, au restaurant puis j'ai rêvé d’un chevalier dans une salle circulaire bleu ciel. Il s’appelle Rampillon, m’invite à rejoindre la massenie templiere de G Carmi. Ce que je fis par la suite. La 1ere fois que j’ai rencontré Gabrielle, elle était malade et couchée. Ma montre s’est arrêté et n’a plus jamais remarché. J’étais admis, à la suite du récit de mon rêve. Elle m’a dit que j’avais été appelé effectivement par Jean de Rampillon, un initié Templier désincarné qui ne reviendra plus jamais dans le cycle de la terre. Il a accompli son cycle. A cette époque, fait étonnant, chaque fois que j’arrivais dans un lieu templier ma voiture faisait un simulacre de panne. J’allais visiter, je revenais à la voiture et elle démarrait. Est ce que tu comprends me suggérait t-elle ?

 L’initiation à la conquête des rêves a commencé. J’ai retrouvé des vies de chevalier en Orient  notamment, mais aussi de misère terrible en Afghanistan ; une autre à Rome, comme Jardinier.  Gabrielle disait que l’on devait être conscient du chemin.

 La nuit, nous méditions dans des grottes magnétisées par les templiers, depuis fort longtemps, depuis la tradition primordiale. Il fallait revoir ses vies. C’était parfois très dur de s’avouer les horreurs que l’on avait faites dans ses autres vies.

 Il fallait rectifier, par notre vie présente.

 Vers 26 ans je suis entré en Franc-maçonnerie. J’ai retrouvé, avec le chemin des cathédrales, mes vies de druide itinérant. Ce que Gabrielle m’avait dit : tu as été druide, tu aideras la massenie à l’extérieur ou à l’intérieur, cela dépendra de toi. En effet, j’ai toujours, même à l’extérieur, été profondément fidèle à Gabrielle qui m’a tout appris sur moi. Le lien est hors du temps. Un jour on a parlé des Fratres lucis et elle m’a dit laconiquement : il y a eu des liens profonds entre la massenie et toi.

 Enfin j’ai conservé un lien spirituel profond avec la région d’Etretat en tant que druide, mais coté des Throtts, les grands hommes du nord, pas des bretons... Et voilà que le chemin des Cathédrales, des églises romanes m'est devenu clair, limpide, ainsi que les romans du graal. Mais c’était le catharisme qui m’attirait le plus profondément. Je suis allé à Peyrepertuse, et dans d'autres lieux, aussi.  Dans la chapelle du graal, j’ai pleuré. Et quand je quittais le pays cathare je pleurais encore...  Je retrouvais un chat psychique, un maître d’amour... J’étais profondément meurtri par l’inconscience des gens du sud qui semblaient avancer comme des morts vivants et ne comprenaient rien au catharisme. Je sais que j’ai du être torturé et assassiné par l’Eglise. Ce qui explique ma peur naturelle de l’église dès ma plus jeune enfance. Je trouvais les prêtres faux et roublards, peu enclins à aimer vraiment. Quand j’ai revécu le catharisme je les ai détestés. J’ai vu et retrouvé qui ils étaient, mais je devais me guérir de cette haine. Dans cette vie, mes déboires nombreux furent pour me libérer de cette haine d’eux .Je suis devenu évêque gnostique. Cela a calmé la relation, mais ma mémoire est restée intacte sur ce qu’ils nous ont fait à nous, Druides, Templiers et Cathares. Nous avons tous été " les fils de l’homme  torturés par cette église". Le Christ avait annoncé, dans les évangiles, qu’il fallait faire l’expérience karmique de la trahison. C’était terrible, mais il fallut qu’il en soit ainsi...

 Dans une autre vie j’ai été marrane. Je vivais dans une grotte. Là aussi, on me détestait et j’ai été assassiné. J’ai revu une autre fois, une scène étrange où je ne veux plus vivre avec la communauté judaïque. Je m’éloigne de la table et des lettres hébraïques pour devenir Chrétien…

 Alors, ami lecteur, tu vois que ce n’est pas facile de revivre ses vies. Car nos douleurs, nos fractures se révèlent et les affronter est vraiment très dur.

 Voulez vous vraiment revivre vos vies? Etes vous prêt ou prête à affronter votre ombre et le gardien du seuil ?

 Ce fut le cas à la Massenie où j’ai vécu cet affrontement qui m'a totalement terrassé durant plus de 15 jours. Dans un rêve, je me vois face à un druide terrible qui donne des ordres puissants, puis face à un samouraï et à un Viking Chevalier géant. Les trois me bousculent et me terrassent. Ils me donnent une formidable raclée me faisant comprendre ma brusquerie, ma manière volontaire de parfois réagir qui viennent d’autres vies. 

 Revenons à ma première vision : je pense que cette expérience de Gisors équivalait au 30 ans dans le non monde, au vol spirituel de l’âme avant la réincarnation.  Redevenir poussière selon le druidisme, c'est se réincarner.  Un peu plus tard  j’ai reçu mon nom dans un rêve « C’était celui d'un jardinier inconnu  qui voulait m’initier au secret de 3 grandes pierres. Il me fit voir sous l’eau les 3 grandes pierres disparues. Je me posais la question : pourquoi me dit il cela, à moi ?  Que vais-je en faire ? Enfin il me dit : tu te nommes Pergsanti, c’est ton vrai nom ! » Il s’agissait du cycle atlante et gaulois on l’on jetait sous l’eau nos secrets, nos trésors. J’ai retrouvé dans cette vie ces trois grandes pierres dans le site de Locmariaquer et à Gavr’inis, en particulier.

 Puis, Longtemps après, chez Gabrielle, mon magister Templier, j’ai revécu une vie comme jardinier.  C’était magnifique ! J’avais participé à la réalisation des jardins de Rome ! Et je me souviens dans mon rêve, l'on me disait : si tu vas à Rome tu revivras cette plénitude de paix que tu as connue à l’époque.

 En maçonnerie, j’ai retrouvé cette résonance militaire romaine et druidique et dans le temple  aussi. Ce qui vient du passé éclaire le présent. Nous avons tous eu de nombreuses vies, mais dans nos rêves nous n'en ramenons que peu de souvenirs. Lorsque je fus initié dans la massenie au 1er degré majeur, je n’avais aucun souvenir d'en avoir fait partie. Mais cela avait éveillé un écho, un espoir. Alors je suis allé voir Gabrielle qui était auto consciente dans l’invisible et elle m’a dit : oui c’est bien de toi dont j’ai parlé aujourd’hui. Elle confirma  que j’aiderais comme druide sur le mystère de Gisors, que la sagesse, je la connaissais depuis longtemps et que je devais développer l’amour dans cette vie. D’où mon attirance pour Sai baba, Balayogi, Teilhard,  pour la mystique qui élude les questions techniques.

 Dans nos vies nous retrouvons la bhak tol, la parole qu’entendait encore Jésus.

 Le fait que nous ayons eu de nombreuses vies permet de dire que l’église exotérique se trouve dans un abîme inconscient qui, nous l’espérons, se lèvera un jour. Que le grand maître Christ de l’apocalypse leur donnera plus d’intelligence et d’amour qu’ils n’en ont eu par le passé. Mais cela n’est pas du tout certain.

 Dans l'un de mes rêves, une nuit, j’étais avec des âmes sœurs et frères, hors du temps cyclique, comme entre plusieurs vies, dans l’akasha. Nous réfléchissions sur le futur, comment envisager le travail des initiations des vies futures,  puis je déclarais au groupe : non je ne lâcherai pas le katana. Nous devons toujours être sur nos gardes et conserver en nous l’expérience de la trahison de cette humanité. Apres avoir été meurtris, notre âme et notre corps se souviennent. On pardonne, mais la main sur le pommeau de l’épée et la truelle dans l’autre pour construire avec le sang des bodhisatvas en liant le joint rouge du sang entre les pierres.

 Vers 38 ans, j’ai eu une épreuve terrible, professionnelle et amoureuse. J’ai tout perdu, emploi,  logement, ressources, salaire. Mais, intérieurement, j’ai revécu une initiation extraordinaire. Je me sentais abandonné, totalement désespéré... J’ai rêvé de Jésus qui me disait avec amitié qu’il ne confierait pas sa lance à n’importe qui, mais que j’avais le droit de la toucher. Enfin, j’ai rêvé du triskin et le matin j’ai eu le signe du triskin, qui signifie « l’initiation », qui était apparu sur ma main. J’ai rencontré d’autres âmes initiées, la nuit en voyage, un indien, un noir et d’autres... Tous disaient que l’humanité avait encore beaucoup à apprendre. Nous en convenions...

 J’ai appris aussi que j’avais vécu en Amérique du Sud et que j’avais été initié par les constructeurs Indiens, en Amérique il y a 10 000 ans. J’étais venu en conquérant et je devins leur ami, leur frère. L’expérience la plus étonnante de cette période terrible ou tout s’écroulait autour de moi fut de voir pendant plus de 15 jours, comme si j’y étais, une conjonction de Sirius. J’étais sur la planche à dessin et je fermais les yeux. Cela s’imposait immédiatement à ma vision. Cette initiation là était universelle au-delà des races et des groupes humains… Le triskin, on le trouve sur le grenier des dogons aussi…

 A la même époque j’ai vécu une extraction de mon corps par les seigneurs de Vénus/Mercure. Ce fut terrifiant, car je me sentais seul au milieu de l’univers, sans aucun repère physique, psychique ou humain. On me montra la puce des druides, un grand secret. Depuis j’ai rencontré fréquemment, psychiquement, les égrégores stellaires d’autres initiés.

 Plus tard, un druide qui m’initia me dit qu'à cette époque j’avais fait le grand voyage de Sirius comme chevalier sur l’autre plan. Il fut très étonné de voir le triskin sur ma main. Quand le triskin est apparu j’ai rêvé aussi de ma naissance dans la mer sous la forme d'un Dauphin. Je disais dans mon rêve : je suis le fils de Dieu. J’ai pris conscience de tous les outils compagnonniques qui existaient dans le milieu marin sous forme animale. Ce fut vraiment comme recouvrir une paix profonde et une seconde naissance après cette mort au monde ou tout espoir m’était refusé. Vois tu, amie ou ami lecteur, de la mort naît la résurrection. Tu n’es jamais abandonné les maîtres veillent en toi.

 Je pense que je renaîtrai en Angleterre et qu’enfant je parlerai avant l’age de sept ans des rapports du karma à ceux qui m’entoureront. Je les aiderai à voir en eux les travers, les tendances inscrites et les moyens de retrouver leur passé ontologique et de se guérir eux mêmes. Ce sera ma mission … J'ai fait ce rêve voici quelques années.  Cela  se réalisera t-il ? On n’est jamais sûr de rien… Mais, ami lecteur, sache que le karma n’est pas si facile à comprendre. Approche toi de toi-même et aime toi… C’est tout ce que je puis te dire. Ne sois pas ignorant de toi. Ton histoire est aussi vaste que celle de l’univers, sois-en conscient...

 Je pourrais te raconter d’autres vies. Tout ceci est dit à titre d’exemple... Afin que tu enlèves la poutre de ton œil et que tu sentes intensément que tu es grand, aussi vieux que la création elle-même. Mais aussi neuf, car aujourd’hui est mieux que demain et ta mission continue...

 Sache que tu as trois rendez vous :

 Avec Toi !

Avec Lui !

Et avec les Autres !

 Parfois tes frères, parfois tes ennemis qui portent une trahison macrocosmique. Mais ces tenailles du grand œuvre nous forgent... Le temple a été détruit par 3 mages noirs : Philippe le Bel  qui fut un ancien mage noir du Yucatan qui sacrifiait des enfants et deux autres, tout aussi sinistres. Le temple est immuable ! Les grandes catastrophes détruisent l’humanité mais il est éternel et toi aussi lecteur, tu es éternel !

 Aujourd’hui je travaille sur les évangiles intérieurs et d’autres sujets du temple. Et je te dis ami, amie : pas une vie mais des vies, pas une nationalité, pas une race, mais la fin de la 16e race, la race de cristal, la promesse de l’Apocalypse ! Voilà notre rendez vous...      

 PERGSANTI

1 - ORIGINES DE LA PREMIERE MASSENIE

La première Massenie a été fondée à Toury au début du XIVème siècle par Jean de Rampillon, ancien croisé. C’est au cours d’un voyage en Terre Sainte que Jean de Rampillon a été introduit dans le milieu occulte par de vrais initiés. Avant de quitter l’Orient, son Maître lui a conféré l’initiation. A son retour dans sa Brie natale, il a voulu venir en aide aux Templiers, Croisés ou Sémites ayant reçu une initiation minimale de second degré et fonda la première Massenie.

Il les répartit de la façon suivante :

  • 10 étaient des sédentaires, vivant sur des lieux proches de la Massenie.
  • 10 autres, non sédentaires, étaient des voyageurs : soldats, artistes, négociants de commerces...
  • 6 étaient Sémites. Certains étaient égyptiens. Il y avait des occultistes, des alchimistes (harodim en hébreu) et ils habitaient la Tirtha. Ils étudiaient les sciences occultes, l’hermétisme, l’astrologie, la science des lettres et des nombres par la Kabbale.

Cela faisait donc un total de 26 membres. 26 étant en Kabbale, la valeur du nom sacré de Dieu ou Tétragramme : Hé – Vau – Hé – Yod.

Tous avaient pour objectif d’aider les désemparés à ne pas s’abandonner et à rechercher la voie de la Connaissance. C’est dans cet esprit que Jean de Rampillon appela la Massenie : La Massenie du St Graal.

Il faut souligner que les Templiers avaient été les gardiens du St Graal. Cela représente un mystère pour beaucoup... Il représente la force véritable et cachée de la plénitude céleste. Le Graal est la grande queste de la pureté initiale de l’Homme. C’est le combat perpétuel entre le bien et le mal dans l’homme.

La nuit de la Pâques Chrétienne, une grande réunion avait lieu dans chaque Massenie. Chacun faisait part de ses travaux occultes de l’année ou des contacts qu’il avait entretenus avec des frères d’autres Massenies ou avec d’autres Cherchants.

Des Massenies existaient un peu partout dans le monde : l’Inde, l’Asie mineure, l’Extrême Orient, l’Afrique et l’Europe.

Après une période de plus ou moins grande activité, l’Ordre de la Massenie du St Graal a subi une éclipse totale d’activités au cours du demi siècle écoulé.

RESURGENCE DE LA MASSENIE :

C’est en Juin 1973 que Gabrielle CARMI (Andrée FORTIN) et son époux (Jean) ont créé dans leur Maison du hameau de Toury, à Hermé, en Seine et Marne, sur les lieux mêmes de l’ancienne Massenie de Jean de Rampillon, un Cénacle de la Massenie. C’est au travers de rêves, que Gabrielle a été instruite par Jean de Rampillon, sur les origines ainsi que sur le rôle que l’on attendait d’elle pour réactiver une Massenie.

2 - MARRANE :

Mais, à vrai dire, ils ne pénétrèrent pas en France en tant que juifs, mais en tant que marranes ou crypto-juifs. Ils professaient extérieurement le catholicisme [...]. Mais ils observaient, en secret, les pratiques de la religion juive. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)

 

 

Date de dernière mise à jour : 23/11/2020

×