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Histoires extraordinaires russes.

 

Notre amie Helena passe beaucoup de temps en recherches afin de nous offrir ces histoires extraordinaires qui nous démontrent que nous sommes loin d'être seuls en ce vaste univers et qu'il se passe parfois des évènements tellement incroyables que les personnes qui les vivent ont parfois beaucoup de mal à les raconter.

 La Russie a toujours été un pays ouvert à l'irrationnel et aux phénomènes extraordinaires, beaucoup plus ouvert que nos pays qui semblent ignorer la plupart de ce qui n'est pas rationnel et démontrable.

 Il se passe pourtant des choses bien étranges sur le sol de notre planète...

 Lisez ces histoires si vous faites partie de ceux qui pensent qu'il existe d'autres vies et d'autres réalités que celles que nous percevons au quotidien.

Les Maîtres du ciel

Inga Jemelianova raconte :

Cela est arrivé en décembre 1983. Un soir, je me reposais sur le divan. Soudain, la porte donnant sur le couloir s'ouvrit d'elle-même. J'entendis de petits pas doux, tels ceux d'un enfant. Un être de un mètre de haut entra dans la chambre. Il était habillé d'une combinaison peluchée blanche, sans agrafes ni coutures. Il portait un béret blanc, mis légèrement de côté. Au niveau de sa gorge, la combinaison finissait par un cercle. Le visage de cet être ressemblait à celui d'un enfant, plus précisément à celui d'une fille. Bien que cette apparition me rendit des plus perplexe, j'en retenais les détails. L'être n'apparut que quelques secondes pour disparaître ensuite dans le couloir sombre. J'entendis le bris d'une glace. Je me suis alors précipitée, mais l'être avait disparu, sans laisser de traces. Le couloir était pourtant couvert des éclats des bouteilles rangées le long du mur.

Je me suis mariée le 29 février 1988 et mis au monde une fille que nous avons appelé Olesia. En janvier 1990 une cascade d'évènements se déclenchèrent, tellement incroyables, que je dus faire appel à un spécialiste pour les comprendre. Celui-ci, le célèbre collecteur de faits extraordinaires, A.K.Prijma, se trouvait dans une steppe à deux kilomètres du fleuve Don, en face de la ville de Rostov.

Voici ces évènements. Il vous est possible de ne pas me croire, mais je peux vous assurer que je suis bien sortie de mon corps et que j'ai pu l'observer, allongé sur mon lit. Cela provoqua chez moi une certaine frayeur, mais celle-ci passée, je vis entrer le même petit être dans son habit peluché que j'avais vu huit années auparavant. Je le reconnus tout de suite, avec son visage de petite fille. Je compris en un instant que je le connaissais. Prise de panique, je me suis retournée et j'ai vu que ma fille de deux ans n'était plus dans son lit, mais se trouvait debout, au milieu de la chambre. L'être en visite et ma fille avait les mêmes visages, telles des jumelles.

Ma fille se précipita dans la chambre voisine et je me vis la suivre, en demeurant dans les deux formes, l'une allongée sur le lit et l'autre qui volait vers l'autre chambre, à la suite de ma fille. Dans cette chambre se trouvaient deux hommes aux visages barbus assez étranges car l'un des côtés était blanc et l'autre noir.

"Qui êtes-vous ? Que faites-vous ici, demandai-je".

Ils me répondirent : " Nous venons de loin. Nous avons créé une copie exacte de votre fille afin d'éviter d'inutiles questions de la part de vos connaissances lorsque votre fille s'évadera de votre maison pour quelque temps. Sa copie la remplacera."

Inga fut prise d'horreur et perdit conscience.

Une année après, alors qu'Olesia avait appris à parler couramment, elle commença à raconter des choses tout à fait extraordinaires. Voici un extrait des dialogues avec sa maman :

"Maman, je me suis de nouveau envolée cette nuit.

Comment t'es-tu envolée ?

Dans un avion comme une soucoupe. J'ai rencontré deux tantes toutes vertes. Elles m'ont dit que ma maison était très loin d'ici et elles m'ont donné un bonbon rouge délicieux que j'ai mangé.

Tu t'envoles souvent ?

Très souvent. Quand nous arrivons là-bas je ne vois rien car l'on me met un bonnet jusqu'au menton. Puis on m'enseigne.

On t’enseigne quoi ?

Je ne sais pas. Je n'arrive pas à me souvenir.

Comment ces tantes sont-elles vêtues ? Avec des robes ou des pantalons ?

Elles n’avaient rien, toutes lisses et vertes. Là-bas je fais mes études à l’école. Les tantes vertes me prennent dans leur avion. Beaucoup d’enfants font leurs classes là-bas.

Inga Yemelianova a fait d’autres dépositions :

Je me suis, une nuit, réveillée en sursaut. Je me sentais flotter dans une forme énergétique dont les contours ressemblaient à ceux de mon corps physique. Ma fille Olesia flottait à mes côtés, mais son corps n'était pas transparent. L'une à côté de l'autre, nous nous vîmes entraînées à travers l'obscurité. J'apercevais néanmoins la rive gauche du Don et je voyais les lumières de la ville, de l'autre côté du fleuve. Il était environ 10 heures du soir et la pleine lune éclairait la steppe.

Inga aperçut un petit bocage à cent mètres environ. A quelques mètres de celui-ci se trouvait un énorme engin, telle une lentille biconvexe. Il comportait trois gros supports et une étroite échelle. A ce moment Olesia disparut de sa vue. Une force étrange la propulsa vers l'échelle, puis à l'intérieur de l'engin.

Je vis une salle toute ronde, avec de nombreux fauteuils, raconte-t-elle. Des enfants silencieux, d'origine terrestre, agés de 3 à 5 ans occupaient ces fauteuils. Je n'arrivais pas à comprendre de quoi ils pouvaient s'occuper. Soudain, une force me propulsa à l'extérieur de l'engin.

En observant les alentours, Inga aperçut d'autres enfants assis en cercles. Aucun d'eux ne bougeait, mais ils regardaient fixement vers le centre. Il y avait quelqu'un ou quelque chose dans ce centre qui attirait leur attention, invisible pour Inga.

Inga remarqua sa fille dans le groupe. Elle se rappela alors l'école avec les tantes vertes dont sa fille lui avait mainte fois parlées. A peine s'était-elle concentrée sur cette idée d'enseignement guidé par des extraterrestres qu'une force insurmontable l'emporta vers le bocage, l'obligeant à s'immobiliser dans une étrange position, les bras tendus vers l'avant au niveau des épaules, mais les mains vers le bas. La posture n'était pas commode, mais elle n'arrivait pas à en changer. Elle restait ainsi figée, le visage orienté vers le bocage avec l'engin et le groupe d'enfants. Puis, soudain, Olesia la rejoignit et le vol de retour commença, très rapide. En quelques secondes Inga et Olésia descendirent vers leur appartement. Alors qu'Inga regagnait rapidement son corps allongé, Olesia descendait doucement et restait debout.

"D'où venons-nous", ai-je demandé à ma fille. "De l'école" me répondit-elle.

Voici une seconde histoire très proche de la première :

Lubov Sergijenko était âgée de 36 ans. Elle avait une fille de 13 ans et un fils de 6 ans. Un jour, raconte-t-elle, je dus gronder sévèrement mes enfants pour leurs polissonneries et je leur ai même donné des gifles. Lorsque je m'allongeais sur le divan, je fus prise de remords et me tourmentais de mon manque de retenue. Soudain une main étrangère me prit par le cou et une autre main m'enserra la taille. Je me sentais engourdie, raide comme un bâton, debout sur le divan.

En face de moi, j'aperçus la silhouette d'un homme gigantesque dont les yeux étincelaient et semblaient menaçants. Sa voix se fit entendre :

"Nous te défendons de blesser les enfants. Tu le regretterais. Seriogea va à notre école". Puis la silhouette disparut. Je retombais sur le divan, morte d'effroi.

LES CROIX SUR LES TOITS.

Cette information vient de l'Ukraine, de la région de Kirovograd.

Nous sommes le 3 mai 1987. La kolkhozienne V.Kernosenok demande à son mari de sortir les dindes dans le pré. Grigory les conduit vers la porte lorsque, soudain, celle-ci s'ouvre d'elle-même. Il voit alors un étrange engin semblable à un disque argenté. Deux personnes habillées de noir se présentent à lui et lui demande de les suivre. Grigory se sent alors aspiré à l'intérieur de l'appareil.

Voici son témoignage :

Je me suis retrouvé assis dans un fauteuil confortable. Près de moi se trouvaient trois personnes assises dans de semblables fauteuils, deux hommes habillés de noir et une femme, dans des vêtements clairs émettant de la lumière. La femme était très belle, avec de longues tresses. Un des hommes m'a dit : "Nous t'invitons à un voyage avec nous". Je n’eus guère le temps de réaliser ce qui m'arrivait, que déjà des étoiles apparaissaient derrière les hublots.

 Perplexe, je demandais : "Quand, serais-je de retour?"

La femme me répondit : "Ne vous inquiétez pas, nous vous reconduirons sur les lieux mêmes où nous vous avons pris"

Nous avons longtemps voyagé dans le silence le plus complet. Au cours du vol ils me donnaient à manger une pâte blanche, sans goût ni odeur.

Nous sommes enfin arrivés dans un lieu inconnu et ils me demandèrent de sortir.

 J'étais plutôt effrayé en voyant devant moi une petite ville, des maisons sans étages, des toits aigus avec une croix sur chaque toit. Les croix rayonnaient. Il y avait aussi des arbres magnifiques, mais on ne voyait pas de soleil. Il faisait sombre. Peut-être, était-ce l'aube ?

A peine ai-je eu le temps d'examiner les alentours qu'ils me dirent :

"Nous devons repartir". Ensuite, je ne me souviens plus de rien. Le vol a duré trois ou quatre heures selon mes sensations.

J'ai repris conscience dans ma cour. Il pleuvait. Nous étions au début de la journée. Je vis mon fils me relever de terre, sans comprendre d'où il était apparu car il habitait à Dnepropetrovsk, bien loin du lieu où j'habitais.

Ce n'est qu'un peu plus tard que j'appris que j'avais été absent cinq jours et que mon épouse avait envoyé un télégramme à mon fils, le priant de venir pour mes funérailles. Elles étaient envisagées, bien que personne, y compris la police, n'ait retrouvé mon corps.

Traduction : Helena Howanskaya

Commentaires : Claude Delarose

 

Date de dernière mise à jour : 23/11/2020